Une brève de l'ami Jo : "Textes Sacrés ou sacrés textes"
Sur l’évolution, la compréhension, et l’adaptation des textes religieux
Si, comme le font certains, on se réfère et s’imprègne de textes écrits il y a plusieurs millénaires, on en arrive à des aberrations qui, quand elles sont suivies au pied de la lettre, conduisent à des situations grotesques. Cela mettrait en danger, non seulement l’existence même de ces religions, mais également la coexistence au sein même de celles-ci.
Certains articles parus dernièrement à ce sujet, m’ont amené à m’intéresser à plusieurs textes de la Bible qui parfois sont cités. Je me suis alors trouvé en présence d’écrits qui, s’ils étaient encore considérés comme d’actualité, nous mettraient dans des situations qui, en plus d’être ridicules, rendraient la vie impossible dans un monde civilisé.
Voici quelques « originalités » tirées du « Livre du Lévitique » (cliquez ici).
Chapitre 18, Verset 22 de la Bible : “Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination”. Ceci était encore le cas chez nous jusqu’il y a peu. Cela reste encore d’actualité dans une grande partie du monde.
L’exemple suivant est déjà beaucoup plus rare. Le livre du Lévitique, Chapitre 25, Verset 44 : il est permis « de posséder des esclaves, hommes ou femmes à conditions qu’ils soient achetés dans des nations voisines ». Donc, pas de problème au Grand-Duché, en France ou aux Pays-Bas, mais pas touche aux gens de chez nous ou à ceux à qui nous accordons l’asile.
Au Chapitre 18, Verset 19 le même Lévitique défend aux hommes de « toucher » une femme durant sa période menstruelle ! Vous vous voyez au bureau poser « la » question à ce sujet à votre directrice des ressources humaines qui vous tend la main ?
Exode, Chapitre 35, Verset 2, rappelle, lui, clairement, que celui qui travail le samedi doit être condamné à mort. Ça, ça donnerait peut-être une bonne excuse aux personnel du TEC !
Le Chapitre 19, Verset 19 interdit aux cultivateurs de planter deux types de cultures différentes dans le même champ et aux femmes de porter des vêtements de tissus différents.
Médire et blasphémer selon Le Lévitique (Chapitre 24 Versets de 10 à 16) sont punis de lapidation et ceux qui « dorment » avec des membres de leur belle-famille seront tout simplement brûlés vifs (Chapitre 20, Verset 14). Plus question donc d’inviter belle-maman à passer le week-end à la maison.
Il existe encore pas mal d’autres joyeusetés du même acabit, et ceci dans la bible ! Voyez-vous notre Pape François remettre ces pratiques à l’ordre du jour ?!?!?!
En conclusion, il est clair qu’il faut tenir compte des contextes historiques et géopolitiques de l’époque durant lesquels ces textes ont été écrits. De même, les termes utilisés peuvent voir leur signification ou leur portée varier selon les traductions (et les traducteurs !). Les prendre au pied de la lettre, comme le font encore certains de nos jours, devient dès lors un grotesque et dangereux anachronisme.
Jo



J’ajouterais que je trouve tout autant illogique, honteux et même amoral, le fait que la ristourne sur les frais pharmaceutiques soient les mêmes pour les 358.227 S.D.F. que compte la Belgique que pour la petite veuve qui dépend du CPAS et qui, elle, doit demander au pharmacien de pouvoir payer fin du mois quand arrive sa pension, ou qui doit tout simplement se priver de médicaments.









« Tout occupant d'immeuble est tenu de maintenir dans un état de propreté suffisant l'entièreté de la 


Il n’y a pas d’argent pour construire des écoles dont on sait très bien qu’elles vont cruellement manquer dans un tout prochain avenir, c’est déjà le cas à Bruxelles
Et si les français l'ont fait, alors pourquoi pas nous
Sécurité













Il s'agit du classement des pays européen classés par nombre de journées de travail perdues en raison de grèves.



Et tant qu'on en est à faire des suggestions, que pensent nos édiles de l'idée suivante...
A l'entrée de la zone à protéger, un feu clignotant est placé avec un panneau annonçant la vitesse limitée et cet avertissement :
Ainsi, dès qu'un conducteur dépasse la vitesse mentionnée, 100 m plus loin il se trouve devant un feu rouge qui l'immobilisera plusieurs minutes.










Autre chose, 









