Une brève de l'ami Jo : "dysfonctionnements"
Dysfonctionnement, un terme fourre-tout de plus en plus utilisé ces derniers temps par nos gouvernants pour éviter des mots plus appropriés comme bavure, aberration, gaffe et parfois détournement, malversation, exaction.
Ça n’en finit plus, un dysfonctionnement chasse l’autre.
Quelques exemples de dysfonctionnements récents :
- Dysfonctionnement dans l’entretien des tunnels à Bruxelles
- Dysfonctionnement à la région wallonne ou, un peu partout, contrôlés et contrôleurs sont les mêmes personnes
- Dysfonctionnement dans la réalisation du RER qui aura pris plus de 15 ans de retard, et triplé de prix
- Dysfonctionnement dans les milliards à trouver dont le nombre varie d’un jour à l’autre
- Dysfonctionnements majeurs dans la recherche des djihadistes
- Dysfonctionnements dans les tribunaux qui doivent remettre en liberté des malfrats pour cause de maladresse, omission ou distraction et concernant les malversations à Charleroi du temps de Vancauwenberg où un non-lieu général a été rendu pour cause de «dépassement du délai raisonnable».
J’en passe et des meilleurs.
Mais quelle est la cause de cette accumulation de « dysfonctionnements » ? A priori il n’y a pas de raison pour que nos hommes politiques soient moins intelligents que chez nos voisins (Quoique !)… Alors ? Qu’y-a-t-il de différent en Belgique par rapport à eux ?
Démonstration. Chaque pays démocratique se trouve devant les problèmes inhérents aux difficultés que représente le système démocratique. Ce système, par rapport à une dictature, doit tenir compte des avis divergents des partis politiques du pays. La Belgique en fait partie.
Mais en Belgique, ces difficultés sont multipliées par le nombre anormal d’entités qui interviennent dans chaque prise de décision. Et il y en a pas mal...
Notre pays est divisé en trois au point de vue linguistique. Il est en outre divisé en quatre au niveau des régions : Région wallonne, flamande, germanophone, et bruxelloise. Chacune est dotée de son gouvernement et de ses ministres.
En plus, il ne faut pas oublier les 10 provinces auxquelles il reste encore des bribes de pouvoir.
Bruxelles capitale, elle, est composée de 19 communes, dont certaines dites « à facilités ». On se rend d’ailleurs régulièrement compte que ces « facilités » compliquent singulièrement les choses.
Et chacune de ces entités « bénéficient » de véritables autonomies dans certains secteurs.
Tout ceci sans compter que toutes ces entités sont divisées au point de vue politique.
Autre « spécialité », la ville de Bruxelles est dotée, je crois, de 7 zones de police.
Il faut aussi tenir compte qu’à l’intérieur de chaque entité les intérêts ne sont pas toujours les mêmes :
En Belgique, entre les 4 régions : wallonne, flamande, bruxelloise et germanophone
A Bruxelles, entre un habitant de Molenbeek et un d’Uccle.
En Wallonie entre Charleroi et Marche en Famenne.
En Flandre, entre Gand et Beekevoort, etc…et, cerise sur le gâteau, le pays est divisé entre nationalistes et séparatistes. Facile de comprendre, si pas d’admettre, qu’il y ait aussi facilement des « dysfonctionnements » avec l’avantage pour nos politiciens de pouvoir rejeter sur « l’autre » une responsabilité qui finit par se dissoudre…
Un peu d’humour pour terminer.
L’UNION FAIT LA FORCE. Ça vous dit quelque chose ? C’est notre devise NATIONALE !
Jo



Une fois que ceux qui se sentent lésés pour un raison ou une autre, auront déposé leurs revendications, et, autant que possible, leurs propositions, il faut espérer que lors de la prochaine réunion les préposés aux informations seront plus précis et pédagogues dans leur exposé, ne laissant ainsi aucun coin d’ombre, ni éléments sujets à caution… Sans oublier une sono améliorée…
Il n’y a pas si longtemps, le nombre d’appartements à Wellin se comptait sur les doigts d’une seule main. Cela tenait certainement au fait que les prix des terrains et de la construction permettaient plus facilement qu’à présent un type de maisons unifamiliales traditionnelles.
Je ne crois pas, car si notre commune est somme toute spécialement bien située à proximité d’un raccordement autoroutier, nous restons quand même tributaires de distances respectables vis à vis des villes importantes fournisseuses d’emplois, et d’une gare de Jemelle pas spécialement proche.




Maintenant, si je ne mets en doute ni l’authenticité de ce reportage, ni son utilité, il n’en va pas de même quant à l’impartialité avec laquelle il a été présenté.




De mon temps, c’était le bon temps
Trouver ou bien gagner du temps
Aujourd’hui il est encore temps






Des Services qui, entre-autres il faut en tenir compte, permettent au gouvernement de toucher les plantureux émoluments que lui verse la société exploitante,



Le manque de personnel est particulièrement criant dans toutes les spécialités : proximité, scientifique, anti-terrorisme, circulation, etc. Concernant l’équipement du personnel, deux exemples invraisemblables mais pourtant biens réels suffiront . 1. Un agent sur deux n’a pas de gilet pare-balles. 2. Il n’y a pas d’armes pour tous les policiers.
Chez les pompiers :
Là, le manque de personnel à tous les niveaux est spécialement criant, certains diront « effrayant », ce dont profitent habilement les avocats des grosses affaires de détournements pour invoquer régulièrement le « dépassement de délais raisonnable ». 














C’était donc moi qu’il fallait une dernière fois convaincre.







Et c’est ainsi qu’un nouveau venu se trouve, du jour au lendemain, confronté à des problèmes qu’il n’avait même pas imaginé et responsable de la gestion de millions ou de milliards d’euros.
Mais oserait-on supposer que, lors de la distribution de ces postes d’importance vitale pour le pays, il n’existe pas quelqu’un, ou quelque chose, qui vérifie si la personne à qui l’on confie un poste, quel qu’il soit, possède la compétence suffisante pour le gérer.



Moi – Ouf, tu sais, je ne pense pas pouvoir arriver jusque-là !