Ciné-Gedinne : programme du 20 au 28 mai...
Cliquez sur le programme pour l'agrandir
Le site internet : http://www.cine-gedinne.be/
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cliquez sur le programme pour l'agrandir
Le site internet : http://www.cine-gedinne.be/
Suite à la parution du droit de réponse co-signé par Mme Bughin et Mr Lambert qui concernait les commentaires que j’avais fait paraître à propos du reportage de TV Lux sur le PCA du site Gilson (cliquez ici), je me sens moralement obligé de faire un mea culpa. Ce mea culpa ne concerne que les allégations visant à jeter le discrédit sur le blog de Wellin (cliquez ici). Les autres affirmations du texte sus-mentionné concernent des personnes qui sont suffisamment compétentes et aptes à y répondre elles-mêmes et dont je ne suis évidemment pas le porte-parole…
Madame la Bourgmestre, Monsieur l'Échevin,
Veuillez m’excuser d’avoir cru que vous étiez au courant qu’en vous engageant en politique, vous alliez être confrontés à des opinions différentes de la vôtre et essuyer des critiques. Que celles-ci s’exprimeraient partout, et pas seulement dans le cadre feutré et discret de la salle du conseil, comme vous l’avez déjà regretté par le passé… Il s'agit simplement de la saine manifestation de la démocratie...
Veuillez m’excuser d’être un des relais de ces commentaires. De là à remettre en cause mon honnêteté intellectuelle en écrivant que je suscite ces réactions et en sous-entendant que je serais donc de mèche avec vos contradicteurs, il n’y a qu’un pas que vous avez allègrement franchi. Vous avez toutefois raison de dire que le blog de Wellin fait partie de la presse d’opinionS. Vous remarquez que j’ai ajouté un « S » au terme « opinionS » et l’ai transcrit en majuscules afin qu’il soit bien visible. Je m'assigne en effet comme devoir de mettre en ligne TOUTES les opinions, sans pour autant avoir à me prononcer personnellement quant à leur validité ou leur pertinence. C’est ma conception de la neutralité. Celle-ci semble d'ailleurs convaincre la majorité des lecteurs de mon blog, qui sont également vos administrés. Seuls les avis insultants, clairement mensongers ou extrémistes sont écartés. Dans le même ordre d’idées, vous remarquerez que j’ai évidemment publié votre droit de réponse sans la moindre hésitation, plus par cohérence que par obligation. Je vous mets en outre au défi de m’indiquer une seule fois l’expression de mon opinion personnelle dans les sujets traités… Quand bien même cela serait le cas, je n’aurais nullement besoin de votre autorisation.
Veuillez m’excuser de ne pas citer mes sources de manière suffisamment claire à votre goût. Je pensais, sans doute naïvement, que le fait de préciser qu’il s’agissait d’un florilège des réactions parues sur Facebook, de citer les noms (en gras et surlignés !) et même d’y joindre une photo des intervenants suffisait à clairement les identifier. En outre, par correction et souci d’honnêteté, ces personnes ont été contactées personnellement avant la parution afin de demander leur autorisation expresse. Ce n’est visiblement pas suffisant. Peut-être faudra-t-il que, dans le futur, je m’arrange pour collecter une empreinte génétique de mes sources, ce qui, je l’espère, permettra de les identifier précisément et sans équivoque? Le fait que les commentaires aient, entre autres (mais pas uniquement !), été extraits du compte Facebook de Mr Hérion me paraît tout à fait logique puisque c’est là qu’avait lieu le débat… J’ai pour habitude d’aller chercher l’information où elle se trouve, cela me facilite singulièrement la vie…
Veuillez m’excuser de reprendre sur le blog des commentaires « sans autre forme de procès ou de filtre », je vous cite. Il ne s’agit en aucun cas pour moi d’initier un quelconque procès à qui que ce soit, ce n’est pas mon rôle. Quant au filtre, il a fonctionné, contrairement à ce que vous avancez. Je n’ai pas tenu compte de certains commentaires que je trouvais hors de propos dans le cadre de mon blog, mais qui peuvent sans doute trouver par ailleurs leur place dans le débat. De plus, si j’avais trouvé des réactions positives à ce reportage, je me serais fait un devoir de les publier dans le même élan. Malheureusement, je n’en ai pas vu, ou elles m’ont échappé.
Veuillez m’excuser enfin de ne plus m’excuser, de ne rien regretter, de poursuivre sur la voie que j’ai tracée et de continuer à penser qu’on peut œuvrer sérieusement sans se prendre au sérieux… Je ne peux m’ôter de l’esprit que la pluralité d’opinions et leur libre expression sont des piliers de notre démocratie et peuvent avantageusement faire avancer les choses…
Philippe ALEXANDRE
Monsieur L’Echevin,
Lors du dernier conseil communal traitant du PCA, Monsieur L'Échevin de l’urbanisme m’a agressé une première fois en public, or chacun sait que les spectateurs sont tenus au silence lors des séances publiques. Il m’était donc impossible de répondre
Mais, cette fois, et même si ce coup de gueule est « co-signé », je ne peux m’empêcher de reconnaître votre prose Monsieur l'Échevin, puisqu’elle reprend mot pour mot votre intervention au CC et puisque vous m’attaquez nommément une fois de plus, permettez-moi de vous dire clairement le fond de ma pensée.
Je ne fais aucune désinformation, Monsieur l'Échevin, j’ai réagi avec ma sensibilité suite à l’écoute de ce reportage erroné et tronqué !
Vous sortez, peu habilement, - vous le concéderez ! , vos deux interventions du contexte général mais c’est bien lui qui pose problème, car il donne à penser que la commune est porteuse d’un projet sur le site et qu’elle a choisi un vague sous-traitant pour réaliser le dit projet.
Je n’ai jamais critiqué vos interventions, et sortir votre texte en occultant toutes les omissions du reportage est intellectuellement malhonnête ! Je critique haut et fort la teneur de celui-ci, pas vos interventions.
Je reprends à mon tour mot pour mot son contenu :
« En 2011, les établissements Gilson déposent le bilan ! Après la faillite et l’abandon des infrastructures, nul sait ce qu’il adviendra du site, la commune émet toutefois le souhait de ne pas l’exproprier, et deux ans plus tard de le réaménager pour y créer un nouveau quartier » !
Voilà ce que Jean Pierre Gilson pense de cette entrée en matière :
« En parlant de "meubles Gilson"... Certains trouveront déplorable que, dans le reportage de TVLux - pour la petite histoire et par souci d'objectivité - personne n'ait pensé à préciser (ou plutôt à faire préciser), que la faillite fut causée par la gestion désastreuse des repreneurs de la fabrique de meubles wellinoise, sans que la responsabilité des premiers propriétaires ne soit engagée en aucune façon. Ces repreneurs avaient d'ailleurs tenu à conserver un "nom" qui, justement, était, depuis 65 ans, synonyme d'une marque de confiance et de prestige (pour Wellin aussi). Ce "détail" - qui n'en est un que pour ceux qui ne se sentent pas concernés - revêt une toute autre importance - légitime - d'abord pour la famille, mais aussi pour tous les collaborateurs fidèles qui travaillèrent à la bonne marche de l'entreprise depuis sa création, en 1945, par Jules Gilson. Voilà. Pécher par omission, c'est (un peu ?) pécher, aussi. Bref, je ne pouvais pas garder cette amertume rien que pour moi, même si celle-ci n'a rien à voir avec les querelles de clocher qui agitent aujourd'hui, à tort ou à raison, de bien houleux débats autour du devenir du site, voire du centre de Wellin »
Pour la seconde partie de la phrase c’est tout aussi explicite et tout aussi erroné ; la commune n’est porteuse d’aucun projet et n’ambitionne pas de créer un nouveau quartier, la commune veut définir un cadre!
Viennent ensuite les interventions de Madame la Bourgmestre et de Dominique Pajot qui sont tout à fait correctes et sur lesquelles je ne me suis d’ailleurs pas exprimé et puis nous retombons dans ce que j’appelle « la science fiction » : « Pour la réalisation des travaux, la commune a fait appel à un promoteur privé de la localité, celui-ci sera tenu de respecter les plans fixés par le PCA ».
Voilà précisément les points qui posent problème Mr l'Échevin et vous le savez fort bien.
C’est facile de se réfugier derrière des journalistes que vous ne maîtriseriez pas et qui sont libres d’écrire n’importe quoi.
Il m’est arrivé de nombreuses fois de participer à des interviews, les journalistes sont à l’écoute et essaient de faire leur travail le plus correctement, le plus complètement et le plus objectivement possible. Vous étiez le référent en tant qu’Échevin de l’Urbanisme, c’est vous qui avez communiqué l’information et manifestement, celle que vous avez donnée est incomplète et parfois erronée.
L’occasion vous était pourtant offerte, avant d’accepter ce reportage sur le site, de convier le propriétaire promoteur, (faute de lui demander l’autorisation), et de présenter la réalité de ce que devrait être ce projet : un partenariat public-privé ! Dans la foulée, vous auriez renoué ainsi un véritable dialogue constructif avec les intervenants et au lieu de cela, nous ne pouvons constater que le résultat final désastreux.
Je vous rappelle, Monsieur l'Échevin, que l’entreprise Balfroid-Magnée est (après le Home de Chanly) un des plus gros pourvoyeurs d’emplois de notre commune, en tant que mandataire communal, cela ne mérite- t-’il pas qu’on traite sa direction avec un peu plus de considération et de respect ? Vous vous devez d’y être attentif !
Vous critiquez le blog de Wellin et vous mettez en doute sa neutralité. Pour ma part je félicite Philippe Alexandre pour son indépendance et son objectivité. Je le remercie surtout de nous donner un outil d’expression qui nous permet d’interpeller les gens qui nous gouvernent ; nous sommes en démocratie, Monsieur l'Échevin, pas dans une république bananière, chacun a le droit de s’exprimer et je me réjouis que la dernière polémique vous ait obligé à revenir en arrière sur les critères que vous souhaitiez faire adopter par le conseil communal dans le cadre du PCA, et qui étaient inacceptables ; cela aurait eu comme effet de rendre irréalisables la plupart des projets envisagés.
Je reprends ces amendements que vous avez fort habilement donnés en préambule du conseil communal pour déminer la situation, non sans regretter publiquement qu’il y ait eu un débat citoyen avant le conseil communal , ce qui est quand même ahurissant !
Amendement 1 :
Page3: Options d'aménagement.
§2: remplacer le "est affectée" par "pourra" être affectée
§3:remplacer « doit être destinée » par "pourra" être destinée »
Amendement 2:
Page19: Prescriptions urbanistiques et architecturales.
1.2 Mixité des fonctions : Remplacer - §1:Un minimum de 5% des superficies est affecté à des commerces ,..... par: Une partie des superficies construites pourra être affectée •§2:Un minimum de 20% de la superficie des logements sont affectés à une résidence service...par: Une partie de la superficie des logements pourra être affectée...
Amendement 3 :
Retrait de l’axe de mobilité douce nord-sud et est-ouest qui avait fait débat depuis la première réunion d'information.
Ça change quand même fondamentalement les choses ! Merci au débat citoyen et merci surtout à la clairvoyance et à l’écoute bienveillante de certains de nos élus !!!
Vous continuez votre intervention en semant le doute et en laissant croire que j’aurais un objectif caché qui me pousserait à mener une campagne de désinformation.
Je vous l’ai déjà dit clairement en CCAT, et je l’écris noir sur blanc aujourd’hui ! Je n’ai aucun lien contractuel avec l’entreprise Balfroid. Monsieur Balfroid a sa société, et je suis gérant de la mienne dont je détiens 100% des parts. Il n’y a aucun contrat qui lie nos deux sociétés et je ne suis pas partie prenante dans le financement de l’opération de réhabilitation du site Gilson.
Je collabore avec Monsieur Balfroid depuis presque 20 ans, celui-ci m’accorde sa confiance, et je l’en remercie. Il m’a demandé de l’assister lors des réunions de concertation avec la commune, ce que je fais bien volontiers. Sans doute estime- t-il que mes 20 années d’expérience dans le domaine de la construction et mes six années passées à la place que vous occupez actuellement au sein de la commune peuvent lui être utiles.
Je ne suis pas un riverain du site, ni un parent direct d’un riverain, ni un investisseur impliqué.
Je réaffirme également ici que dans la mesure où tous les permis déposés doivent être traités et approuvés par le Collège et par la CCAT, et qu’il s’inscriront inévitablement dans les lignes tracées dans le document de base rédigé par IMPACT, la mise en place effective d’un PCA est une ineptie ! Il sera contraignant inutilement et nous fermera peut-être à des opportunités qui pourraient voir le jour dans 5 ou 10 ans.
Les investissements en jeux sont énormes pour une société de la taille de l’entreprise Balfroid-Magnée, et croyez bien que Monsieur Balfroid est sensible à l’idée que ce projet soit beau, convivial, agréable et qu’il rencontre l’assentiment des riverains et des wellinois. Ce n’est que comme cela qu’il sera vendable et qu’il pourra peut-être, in fine, générer une rentabilité, ce qui est encore loin d’être le cas aujourd’hui.
Je ne vois pas en quoi vous seriez le garde fou contre les délires du « marché », comme vous dites. Le « marché » ici c’est un entrepreneur local qui fait vivre 50 familles wellinoises et qui a à cœur de réaliser un beau projet. Ce n’est pas lui qui veut figer un cadre réglementaire impossible à tenir et maintenir un chemin de promenade traversant les propriétés riveraines du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest au risque de les exproprier, car c’est bien ce texte là qui était proposé à l’adoption du conseil communal avant d’être amendé grâce au débat précédant la décision.
Plus généralement, et avant de conclure, j’estime avoir le droit d’avoir une opinion qui n’est pas la vôtre et de l’exprimer sans que cela ne génère de véritables tragédies. Faire de la politique c’est aussi accepter le débat et pouvoir changer son fusil d’épaule quand la situation évolue. La commune est aujourd’hui face à un investisseur qui a le même objectif qu’elle, plus devant une situation chaotique où il fallait mettre en place un cadre pour éviter les débordements.
Je vais terminer cette mise au point nécessaire en formant le vœu qu’un véritable dialogue puisse enfin s’instaurer entre les autorités communales et le propriétaire du site. Qu’on assiste à une démarche constructive de mise en place d’un réel partenariat, public-privé et que l’on puisse sortir de ces tensions stériles et ces règlements de compte personnels qui ne font en rien avancer les choses.
Philippe HERION
Monsieur Christophe Thiry, rédacteur en chef de TV Lux nous prie de diffuser le communiqué suivant :
"Nous reviendrons dans les tout prochains jours sur le dossier du réaménagement du site Gilson à Wellin. Le sujet que nous avons diffusé ce vendredi contenait en effet une information erronée : contrairement à ce que nous avions compris en préparant ce reportage, le site des anciens établissements « Gilson » n’a pas été racheté par la commune. Nous reprenons donc contact avec les différents acteurs du dossier, notamment avec le propriétaire actuel du site afin de faire le point avec lui sur sa vision du projet. Entre-temps, nous avons estimé opportun de retirer le précédent reportage de notre site internet."
Coup de gueule ! (Anne Bughin et Etienne Lambert)
"Après avoir lu quelques réactions, après avoir pris la mesure de l’irritation de quelques-uns (cliquez ici), permettez-nous à notre tour, de pousser un coup de gueule !
Oui, aussi étonnant que cela puisse paraître, nous avons trouvé que le reportage de TV Lux était, à tout le moins, réducteur ou erroné et ne donnait pas une vision correcte de la réalité d’un PCA (cliquez ici). Et bien, nous allons vous donner un scoop… : Nous ne sommes pas les auteurs de ce reportage. .. !
Nous avons juste été interviewés à la demande de TV Lux et cela va peut-être encore vous étonner, mais nous ne pensons pas qu’il nous revient de dire à la presse ce qu’elle doit dire ou écrire. Si TV Lux n’a pas interviewé le promoteur, c’est son choix, pas le nôtre ! Nous n‘en rendons pas l’opposition responsable…
Que dire alors de la manière dont le blog de Wellin a choisi de relayer cette information pour la faire sienne ? Susciter des réactions d’internautes le matin, puis aller sur le compte facebook de Monsieur Philippe Hérion l‘après-midi pour collecter les réactions de ses « amis » et publier celles-ci sans en préciser la source ne semble pas poser de problème à l’opposition constructive.
Cette méthode nous interpelle cependant. Nous constatons depuis quelques semaines, le blog de Wellin, jusque-là politiquement neutre a rejoint les rangs de la presse d’opinion.
Voici un petit florilège choisi de mots repris sur le blog de Wellin sans autre forme de procès ou de filtre, et dont la plupart ont pour origine le compte Facebook de Philippe Hérion :
« Scandaleux ! Nous nageons en pleine science fiction » « La désinformation a atteint un sommet ! » « Je demanderai au prochain conseil communal une mise au point » « La commune se comporte en propriétaire.. » « Une vraie manipulation de la réalité… » « Manque de concertation… » « Manque de transparence… »
Alors si vous le permettez, reprenons ici nos propos au mot près dans ce reportage de TV LUX, toujours disponible sur le WEB, bien sûr.
Anne Bughin :
« La première idée, c’était d’y faire essentiellement du logement, mais aussi une mixité de fonctions et de logements, c-.à.-d., des appartements pour couples ou familles, amis aussi, pourquoi pas, des maisons individuelles et nous tablions essentiellement aussi sur des services communautaires qui pourraient être, par exemple, une résidence service, une maison médicale, voire d’autres choses auxquelles nous ne pensons pas à l’heure actuelle »
Etienne Lambert :
« Pour le reste, on a voulu laisser au promoteur, dans un cadre qui est défini, une liberté en fonction de la nécessité du marché et des potentialités qu’il apportera. Et d’envisager les différentes possibilités, soit sur des maisons unifamiliales, soit sur des immeubles à appartements, le tout en prenant en compte une vision d’ensemble. Donc il est capital pour nous, que pour chaque étape du projet, l’ensemble du site soit envisagé »
Voilà, mot pour mot, ce que nous disons dans ce reportage tourné il y a deux ou trois semaines! Rien de plus, rien de moins ! Où est le scandale, la manipulation, la désinformation, la science fiction,…. ? C’est ce que nous disons et écrivons depuis des mois ! C’est l’essence -même du PCA tel que nous l’avons voté!
En quoi sommes-nous concernés par les raccourcis ou les omissions journalistiques ?
Oui, nous en avons marre de la désinformation orchestrée par Monsieur Hérion et quelques riverains qui ne cessent de nous salir ou de déformer nos propos en nous prêtant des intentions qui ne sont pas les nôtres.
Pour rappel, c’est pour garantir la mixité des fonctions éviter une densification trop importante, des soucis de mobilité, d’égouttage, de nuisances paysagères, sonores, de stationnement ou autres que nous avons opté pour le choix d’un PCA, comme cela se fait dans toutes les communes qui veulent éviter une densification anarchique de leur centre.
C’est là notre seule ligne de conduite depuis le début de la législature !
Pourquoi M. Hérion, tout en clamant n’avoir aucun lien avec l’entreprise Balfroid-Magnée alors qu’il a participé à toutes les réunions d’élaboration d’avant- projet de PCA avec M. Balfroid, ne veut-il plus de ce plan aujourd’hui ?
Les riverains, premiers concernés par le devenir de ce site feraient bien de ce poser la question avant que, lassés par cette campagne de désinformation, nous ne laissions libre court au marché et décidions de renvoyer la responsabilité des difficultés à venir, engendrées par une non prise en compte de nos remarques aux législatures futures.
Merci d’avoir pris le temps de lire cette nécessaire mise au point."
Anne Bughin - Etienne Lambert
NDLR : cette brève m'a été transmise par "l'ami Jo" il y a une dizaine de jours, bien avant la diffusion du reportage de TV Lux et des diverses réactions qu'il a suscité. Cette brève veut mettre en lumière une autre perspective sur ce sujet, du point de vue des riverains et de la transparence de ce dossier...
Mes petites chroniques dominicales n'ont pas comme propos la critique ou le jugement des problèmes relatifs aux décisions communales.
Même si en son temps, je l'ai fait, mais cette fois à titre personnel.
Cependant, concernant ce projet Gilson, il se fait que je suis régulièrement "consulté" par des personnes qui sont concernées. Pourquoi moi ?
Parce que, comme dis plus haut, en son temps et avec un groupe de wellinois, je me suis opposé à un autre projet, immobilier : l'implantation d'un lotissement au lieu dit Inzery, et il semble que je sois celui qui est resté dans les mémoires en tant que figure de cette opposition (cliquez ici).
Et c'est sans doute la raison pour laquelle on me contacte aujourd'hui, tant pour me demander des conseils à ce sujet, que pour me proposer de me rallier au groupement formé "pour lutter contre un P.C.A. qu'envisage de réaliser la commune".
Personnellement je ne vois aucune raison de contester un document avant qu'il n'existe!
Mais, le succès de cette pétition et ces divers contacts que j'évoque ci-dessus, démontrent une inquiétude permanente et persistante à ce sujet de la part des riverains (cliquez ici).
Suite à ces contacts, je me rends compte que les principales causes de leur appréhension peuvent se résumer aux points suivants :
1° - une densification de population trop importante qui ne correspond pas au caractère rural de notre village;
2° - la peur d'expropriations;
3° - le risque de disparition d'espace verts.
- J'y ajouterais personnellement le problème des égouts toujours d'actualité (cliquez ici).
Dans ce genre de circonstances où le silence laisse la place à toutes sortes de présomptions, je crois qu'il ne serait pas déraisonnable que l'administration fasse connaitre son point de vue, tout au moins au sujet des points ci-dessus, et, régulièrement, de l'avancement des formalités relatives au projet.
Pour ce qui est des expropriations, je peux confirmer que lors d'un entretien privé au sujet du projet Gilson avec notre maïeure, Madame Bughin, celle-ci m'a assuré, qu'il n'y aurait aucune expropriation dans le périmètre visé par le PCA (cliquez ici).
Jo
Cliquez sur la capture d'écran ci-dessous afin de visionner le reportage
Cliquez sur l'affiche pour l'agrandir
Le règlement de participation : cliquez ici
Contacts : expophoto@gmail.com - 084/43.00.45 (matinée) - Epn : 084/38.00.62 (pendant les heures d'ouverture)
Cliquez sur l'affiche pour l'agrandir
L'école des filles de Wellin en 1937... Si quelqu'un a plus de détails à propos de cette photo et/ou y reconnaît une de ses ancêtres, merci de me transmettre l'info... D'autres photos de classes : cliquez ici
Cliquez sur le programme pour l'agrandir
Le site internet : http://www.cine-gedinne.be/
Le lundi 25 mai 2015, le Comité des fêtes de Lomprez à le plaisir de vous inviter à sa promenade pédestre guidée dans les environs du village suivie du traditionnel barbecue du lundi de Pentecôte...
Programme :
- 10h00 (précises) : départ de la promenade depuis la salle...
- Vers 12h30 : rassemblement autour d'un délicieux barbecue. L'apéritif est offert aux promeneurs...
Prix :
L'après-midi sera, comme d'habitude, joyeuse et musicale... Vos parents, amis et connaissances sont les bienvenus...
Afin de permettre au comité de préparer au mieux cette journée, il vous est demandé de réserver avant le mercredi 20 mai 2014 auprès de Martine Merny, rue du Mont, 56 à Lomprez (0495/64.19.59 - martine246@hotmail.com)
Suite à une baisse d'audience, "Vivacité Charleroi" a remonté les bretelles de ses journalistes arguant qu'ils devaient employer un langage d'un niveau moins élevé, argumentant qu'avec les "barakis", il fallait employer un langage barakis. !
Et tant pis pour les autres !
Si ça n'est pas du nivellement par le bas ! Difficile de faire mieux.
Déjà, il y a peu, on avait été les témoins d'un tel comportement.
Etant donné que l'on assistait à la baisse du nombre d'élèves qui réussissaient leurs examens de passage, le ministère de l'enseignement décidait de ramener de 12 à 10 la cotte minimum, pour passer d'un niveau à un autre supérieur.
Qui peut croire que ce genre de décision va faire diminuer le nombre de "barakis" incapables de comprendre un langage radiophonique de niveau normal car je ne crois pas qu'il existe une de nos radios qui userait d'un langage à un tel point châtié qu'il en serait incompréhensible à l'écouteur lambda.
A propos du niveau de connaissance du langage, je me rappelle que lors de ma troisième primaire, notre professeur le Frère Michel Marie, avait mis au point un système destiné à nous intéresser et à améliorer notre vocabulaire.
Au début de l'année, notre cher frère nous avait expliqué que plus notre vocabulaire serait étendu, plus nous aurions de chance plus tard de bien gagner notre vie.
Et qu'à notre âge, nous ne connaissions encore que plus ou moins 400 à 500 mots d'une langue qui en comportait pourtant des dizaines de milliers d'autres.
Pour étendre nos connaissances, il nous conseillait bien sur de lire, mais aussi, deux fois par semaine, nous devions venir à l'école, chacun avec un mot que nous avions trouvé dans un livre ou dans un dictionnaire et dont nous ne connaissions pas, ou mal, la signification.
Le frère les écrivait alors au tableau, demandant à la classe, qui en connaissait éventuellement la signification. Ceci, avant de là donner lui-même accompagnée de l'un ou l'autre synonyme.
Dans tous ces mots que nous avions apportés, il en choisissait alors deux ou trois qui devenait les "mots de la semaine" que nous devions tâcher d'employer au cours de nos conversations et pour le lendemain, nous devions présenter une petite rédaction dans laquelle intervenaient les mots en question. S'en était devenu un jeu et donc une bonne façon d'apprendre.
Une preuve que ce système était valable est que je me rappelle encore d'une rédaction dans laquelle devait intervenir les mots échenilloir et protubérance.
Jo
Lorsque vous recevez un document émanant de l'administration communale, l'en-tête porte les armoiries de Wellin : le blason orné d'un loup, d'un arbre et d'un bateau...
Toutefois, lorsque vous regardez la façade de l'hôtel de ville, qui abrite l'administration dont émane ce document, vous pouvez observer un autre blason, orné de deux léopard (photo ci-contre)...
Quelles sont les véritables armoiries de notre entité? Comment s'y retrouver? Quelle est le blason officiel???
Détaillons tout d'abord ces deux blasons.
Cliquez sur le programme pour l'agrandir
Le site internet : http://www.cine-gedinne.be/
Si le rite religieux des communions (petites ou solennelles) n'a pas ou peu changé, tout l'appareil profane qui accompagne ce rituel, lui, s'est fortement métamorphosé.
Hormis l'ambiance disco qui actuellement est celle des fêtes de communions, prenons l'exemple des cadeaux.
Pour autant que je me rappelle, pour ma communion, j'avais reçu :
De mon parrain une montre et de ma marraine un "magnifique" missel de 2.135 pages, doré sur tranche épais de 5 centimètres, je l'ai retrouvé il n'y a pas longtemps (voir photo ci-contre).
Du restant de la famille, j'ai reçu, un beau chapelet, (plus beau et plus grand que celui qu'on recevait dans son petit étui à sa communion privée), une liseuse (couvre livre), et une écritoire assortie (grande farde destinée à contenir le papier à lettres) les deux en beau cuir brun foncé. Un stylo à réservoir, un coupe-papier ouvre lettre, un bénitier qui est longtemps resté placé à côté du chambranle de la porte de ma chambre (à sec bien sur), et l'un ou l'autre cadre d'image pieuse.
Je vois d'ici la tête du communiant de 2015 recevoir ce bel assortiment !
Autre chose aussi qui a changé pour les garçons, c'est cette coutume qui consistait à ce que le parrain offre au communiant sa première cigarette, cigarette que celui-ci devait impérativement fumer en entièreté devant la famille réunie.
Mais comme, nous ne voulions pas, risquer de perdre la face le jour de la communion en toussant comme des rachitiques, on s’entraînait à l'avance.
N'ayant pas les moyens financiers pour acheter des cigarettes, une fois le catéchisme "pré-communion" terminé, nous filions au cimetière. Et là, nous coupions des morceaux des lianes qui courraient sur les murs en tronçons d'une dizaine de centimètres. Il ne restait plus qu'à les allumer et à s'en servir comme s'il s'agissait de vraies cigarettes.
Cela provoquait naturellement de terribles quintes de toux, et c'était dégueulasse, mais tout était préférable plutôt que de perdre la face le jour de la fête devant nos petites cousines.
Cette coutume d'offrir au communiant sa première cigarette a heureusement disparu.
Par contre pour nos communiantes, ce qui risque de se passer si l'on continue comme le propose certains de nos représentants à abaisser ce qu'ils appellent "l'âge de la majorité sexuelle", c'est que se profile pour elles le risque de perdre la coutume de la robe immaculée, symbole de pureté, qui deviendrait quand même difficile à porter.
A ce sujet, pour finir, oserais-je raconter cette blague où à la fête de communion d'une petite fille le "mon'onc" de la famille connu pour ses incartades verbales quand il avait bu un verre, demande le silence afin de poser une devinette.
- Quelle est la différence, claironne-t-il, entre une paire de c…… et un roulement à billes ?
Un silence gêné s'installe dans l'assemblée, rompu finalement par la petite voix de la communiante qui demande : - Dis, tonton, c'est quoi … un roulement à bille ?
Quand je vous disais que tout évolue !
Jo
Rappel de la législation concernant l'usage des pesticides. Ci-dessous un aperçu des obligations à suivre : cliquez sur le document pour l'agrandir
Plus d'infos : cliquez ici
La Bourgmestre ouvre la séance à 20h01 précises. Tout le monde est présent, sauf Jean-Luc Martin, excusé. Anne Bughin commence par soumettre le pv de la réunion précédente à l’aval des conseillers. Monsieur Closson a une remarque à émettre. Lors des débats sur le PCA du site Gilson, il remarque que les interventions de la Bourgmestre et de l’Echevin ont été jointes au pv, mais pas la sienne. Il dit ne pas avoir de problème avec cela, mais dans un soucis d’équité, il voudrait que son intervention soit également jointe (cliquez ici). Selon lui, soit on les met toutes ou aucune. Anne Bughin lui répond que cela sera acté. Monsieur Closson précise qu’il enverra le document à la secrétaire afin de lui faciliter la tâche...
Cliquez sur "lire la suite" ci-dessous à gauche
Majorité Opposition
Cliquez sur la couverture ci-dessous afin d'accéder à cette brochure au format pdf
Publié le 28/04/2015 à la requête du Parquet du Luxembourg – division Neufchâteau.
Depuis le dimanche 12 avril 2015, Francisco FORGET, ne s'est plus manifesté. Il a été vu pour la dernière fois vers 11h00 rue de la Teinture à Saint-Hubert.
Monsieur Forget est âgé de 46 ans. Il mesure 1m75 et est de corpulence normale. Il a les cheveux châtain clair coupés courts. Il porte un tatouage à l'avant-bras droit représentant un enfant.
Au moment de sa disparition, il portait un pull bleu marine portant le sigle CHA, une veste beige, un pantalon kaki et des baskets noires et blanches de la marque Puma.
Si vous avez plus de renseignements concernant ce fait, nous vous invitons à prendre contact avec la police via le numéro gratuit 0800/30.300. Vous pouvez également réagir via e-mail : avisderecherche@police.belgium.eu.
Cliquez sur le programme pour l'agrandir
Le site internet : http://www.cine-gedinne.be/
Le tennis de table wellinois tient décidément le haut du pavé ces derniers temps. Après le titre de l'équipe A cette saison en division 3 provinciale, c'est Lola Sion qui est mise en vedette. Notre "mérite sportif communal" (cliquez ici) vient en effet de faire l'objet d'un reportage sur TV Lux. On y apprend notamment qu'elle pourrait évoluer en nationale 1 la saison prochaine et même intégrer l'équipe nationale et ainsi participer aux championnats d'Europe, rien de moins!!! Je vous invite à visionner son portrait en cliquant sur l'image ci-dessous...
Ce samedi avait lieu la dernière journée de compétition de tennis de table. L'équipe A de Wellin était confrontée à son dauphin au classement de la 3ème provinciale série B : Castor Graide. Déjà mathématiquement assurés du titre depuis la semaine dernière à Tillet, les jeunes wellinois ont mis un point d'honneur à terminer ce championnat en n’engrangeant que des victoires : 22 au total. Il joueront toutefois encore un match de prestige afin de déterminer le champion des champions de 3ème provinciale : il rencontreront Marloie dans deux semaines.
Cette équipe est composée de jeunes joueurs, tous issus de la belle école de formation du T.T. Wellin. Agés entre 16 et 20 ans, cela fait une bonne dizaine d'années qu'ils pratiquent leur sport ensemble. C'est donc la victoire d'un groupe d'amis au sein d'un club familial. Le comité et l'équipe d'encadrement sont très fiers et heureux de ce résultat et se souviennent avec nostalgie des débuts de leurs ouailles dans ce sport. Il évolueront la saison prochain en 2ème provinciale, niveau jamais atteint par le club wellinois jusqu'à présent.
Les joueurs n'ont pas manqué de remercier toutes les personnes qui ont rendu possibles ces magnifiques performances. En les observant, on remarque immédiatement une immense solidarité et un grand plaisir de jouer ensemble : le match était terminé qu'ils "tapaient" encore la balle l'un avec l'autre. Cela fait vraiment plaisir à voir.
Le comité avait mis les petits plats dans les grands afin de fêter cette victoire finale dans leurs installations. Les supporters ont ainsi pu se désaltérer à satiété et déguster un choix d'amuses-gueules préparés avec soin par la famille du pong wellinois. Félicitations à eux et bonne continuation dans leurs futures pérégrinations sportives...
Composition de l'équipe : Martin Pirson (20 ans - classé C0), William Tonneau (19 ans - classé C2), Lucas Bihain (18 ans - classé C4), Thomas Bernard (17 ans - classé C4) et Bertrand Sion (16 ans - classé C2). Entraîneur : Steve Lobet - Coach : Patrice Hermant - Responsable des jeunes : Olivier Martin.
Cliquez sur (toutes) les photos pour les agrandir
L'album photos : cliquez ici
Le site internet du club : cliquez ici
J'ai hésité longtemps concernant le sujet de cette brève.
Quand je dis longtemps c'est-à-dire jusqu'à l'émission "Mise au point de la RTBF de ce dimanche passé, et à la prestation de Mme Karine Lalieux, députée fédérale, qui, notamment, est à la base de cette proposition de loi qui devrait fixer la "majorité sexuelle" de nos enfants, à l'âge de 14 ans.
Il est tout d'abord permis, de se demander si la capacité de nos édiles à hiérarchiser l'importance des sujets à traiter est à la hauteur de l'importance de leurs émoluments; et si le moment d'entamer des discussions à ce sujet est bien choisi en cette période où les problèmes sociaux de toutes sortes enflamment les esprits.
Au minimum, on peut en douter ; d'autant plus qu'au cours de cette émission, en écoutant les explications pour le moins confuses de Mme Lalieux, il était difficile de comprendre ce que sa proposition, améliorait, éclaircissait ou apportait au texte actuel de la loi concernant la sexualité et les enfants.
S'enfonçant de plus en plus dans ses explications, il aura fallu pratiquement attendre la fin de l'émission, pour que l'échevine cru pouvoir s'en tirer, en expliquant que cette loi sur la majorité sexuelle ne concernerait finalement que les rapports entre ados de 14 à 16 ans entre eux, les lois actuelles admit-elle, étant suffisantes pour traiter les cas entre enfants et personnes de plus de 16 ans.
Une fois ce point éclairci, et tenant compte que la majorité civile, elle, ne commence qu'à 18 ans, il faut quand-même envisager le cas des relations familiales quand un adolescent, (majeur sexuellement, mais mineur civilement) se voit interdire de relations sexuelles par ses parents (desquels il est toujours dépendant), alors que la loi, elle, l'y autorise ?
Autre situation, et surement pas des moindre. Du fait d'une légalisation fixant à 14 ans la majorité sexuelle, nos ados pourraient naturellement et légalement se retrouver eux-mêmes parents à moins de 15 ans sans pourtant être eux-mêmes majeurs civilement.
Je ne crois pas que l'on puisse trouver des arguments pour qualifier ce genre de situations autrement qu'anormale, et qui d'accidentelle qu'elle est malgré tout à présent en deviendrait forcément chose courante une fois légalement envisagée.
Aujourd'hui direz-vous, avec ou sans loi, ces cas deviennent de plus en plus fréquents.
Mais en les légitimant par un texte de loi, on donne à des ados, irresponsables "civilement", une impression de normalisation de la chose.
Or, si de plus en plus, et de plus en plus tôt, les relations sexuelles sont considérées comme une sorte de divertissement, il faut quand même tenir compte qu'elles sont avant tout un acte de procréation.
Jo