Après un accueil en chanson par les élèves de maternelles, Monsieur Roland Piérard, Directeur de l'école a tenu a remercier tous les intervenants : le Pouvoir Organisateur, l'architecte (Mr Jaspart), les différentes entreprises ainsi que le personnel enseignant. Tout le monde a en effet du faire preuve de beaucoup de persévérance et d'abnégation pour mener à bien cette réalisation. Ces longs travaux auront eu le mérite de redynamiser l'esprit d'équipe au sein de l'établissement. Le projet pédagogique de l'école se voit également renforcé grâce à la nouvelle organisation des locaux. Il est maintenant plus aisé de travailler en cycle 5-8, la classe de première primaire étant située en face de celle de troisième maternelle. Un local a pu être aménagé en salle de psychomotricité pour les plus petits. Un autre est devenu une spacieuse bibliothèque pour les plus grands. Monsieur Roland conclut en affirmant que c'était encore plus "chouette" pour tout le monde de rentrer dans cette "nouvelle" école, cette année.
L'Abbé Jacquet, au nom du Pouvoir Organisateur, remercie également tous les intervenants. Il insiste ensuite sur la nécessité de ces travaux. En effet, il était devenu très compliqué et onéreux de gérer deux implantations : les maternelles, Place de l'Eglise et les primaires, avenue Fort-Mahon. De plus, les bâtiments des classes gardiennes étaient devenus obsolètes au point de vue sécurité et hygiène. C'est d'ailleurs cette dernière raison qui a été décisive dans le lancement des travaux. Une subvention conséquente était disponible et il ne fallait pas rater le coche. A ce sujet, il tient à remercier Mr Lattenist et Mme Scarcée pour le "pilotage" de ce dossier à travers les arcanes de l'administration. L'Abbé Jacquet a été marqué par l'implication de toutes et tous. Il conclut en disant : "En regardant tout cela, en ayant vécu tout cela, en voyant tout ce bénévolat, ce souci d'en faire plus que ce qu'on doit, ric et rac pour être en règle,... ces talents, ce savoir-faire, cet état d'esprit empreint de désintéressement et de sens de la gratuité, ce sens du service, la simplicité, la convivialité, en un mot, ce supplément d'âme..., il m'est parvenu un subtil parfum d'évangile. Et je me dis que cette école, comme bien d'autres, mérite son nom d'école confessionnelle, d'école chrétienne et que Saint-Joseph, là-haut, peut être fier d'en être le Patron."
Après l'intervention de Mr Pieltain, Directeur diocésain de l'Enseignement Fondamental, Madame Thérèse Mahy, Députée Permanente Provinciale, a pris la parole. Au nom de Madame la ministre Simonet et en son nom propre, elle s'est réjouie de la finalisation de ce projet. Elle a en outre rappelé qu'une école est un endroit qui doit permettre aux enfants, en plus des matières traditionnelles, d'apprendre la vie et de s'épanouir dans la société. Pour conclure, elle a cité son père instituteur qui répète inlassablement qu'il faut "aimer le beau et le bien"...
Après la visite des locaux, un verre de l'amitié a été servi au public présent. Dans celui-ci, en plus des mandataires politiques et des officiels de l'enseignement, on pouvait rencontrer d'anciennes institutrices de l'école. Soeur Louise-Marie, 92 ans et toujours alerte, était entourée de Mesdames Irma Mahy-Rabeux, Anne-Marie Alexandre-Decerf et Christiane Dubuisson.
Il est à noter que l'école Saint-Joseph a une histoire longue de plus d'un siècle. Ce sont les Soeurs de la Providence de Peltre qui l'ont ouverte. A cette époque, il s'agissait d'une école de filles. La première institutrice laïque, Madame Irma, est arrivée en 1960. Elle a été épaulée l'année suivante par Soeur Louise-Marie, Soeur Renée et Madame Anne-Marie (2ème institutrice laïque et mère de votre serviteur!). Les soeurs de Peltre avaient entre temps cédé leur place aux Soeurs de la Doctrine Chrétienne. Lorsque 2 ou 3 ans plus tard, les garçons ont été acceptés, des instituteurs masculins ont fait leur apparition : Monsieur Léon Voz et Monsieur Georges Deprez. Tous ces noms vont sans doute raviver beaucoup de souvenirs dans la mémoire des anciens élèves, dont je suis. L'équipe éducative actuelle poursuit sur la voie tracée par ses prédécesseurs.
L'école, située à l'origine rue du Tribois, à côté de la Maison Vandercam, a migré place de l'Eglise avant que ne soient construits les bâtiments actuels, avenue Fort-Mahon. Que de chemin parcouru et de lieux occupés... Lors du premier agrandissement des locaux actuels, à la fin des années 70, la classe de Mme Dubuisson a même du s'exhiler à la maison du Patro. Le préfabriqué en bois, disparu aujourd'hui, trônait à l'origine dans la cour du bâtiment de la place de l'Eglise et était occupé par Mme Anne-Marie (1ère maternelle). Il a ensuite été transféré avenue Fort-Mahon afin d'accueillir la 4ème primaire de Mme Dubuisson, revenue de son exil au Fonds des Vaulx.
Ce sont tous ces souvenirs et bien d'autres qui ont été évoqués lors du verre de l'amitié. En tant qu'ancien élève de l'école Saint-Joseph, j'ai du particulièrement veiller à mon orthographe afin de faire honneur à Soeur Louise-Marie, incollable dans cette matière... J'espère avoir été digne de son enseignement...
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Ce mercredi a eu lieu l'inauguration officielle des nouveaux locaux de l'école Saint-Joseph. En effet, depuis la dernière rentrée scolaire, les enfants de maternelles bénéficient de classes toutes neuves. La nouvelle aile présente, en outre, la particularité d'être un bâtiment basse énergie. Il aura fallu 6 ans et de nombreuses démarches administratives pour faire aboutir ce projet. La mise aux normes et le rafraîchissement des autres locaux ont été réalisés à cette occasion. C'est ce qui a été expliqué à l'assistance lors des diverses allocutions prononcées sous le préau... (cliquer sur "lire la suite" en bas à gauche)
L'album-photos : cliquez iciL'équipe actuelle
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International : Cameroun. Article perdu dans un entrefilet en bas d'une page intérieure du journal Le Soir de ce dernier mercredi :
médicaments moins chers grâce à une diminution annuelle globale sur les prix des médicaments de 50 millions d'euros.
On peut donc supposer que ramener cette TVA à son taux antérieur, comme il a décidé de faire, va rapporter à l'état le même montant, mais cette fois, il va sortir de la bourse des entreprises et des familles.
Belgique local : Alors qu'à la foire de Libramont les agriculteurs se plaignent du manque d'aides de la part de l'Etat, il semblerait qu'à Wellin un "cultivateur" s'étant lancé dans une culture hautement spécialisée, aie vu le fruit de son lourd labeur entièrement saccagé par des forces paramilitaires, ceci à quelque jours d'une récolte pourtant particulièrement prometteuse. L'exploitation était gérée par un jeune "cultivateur" d'autant plus méritant qu'il semblerait n'avoir jamais demandé ni reçu aucune aide de l'Etat pour créer son entreprise et voit ainsi ses rêves partis en fumées qui ne sont pas celles dont il rêvait.
Championnat (P1 Luxembourg)
Inscriptions
Il s'agit du classement des pays européen classés par nombre de journées de travail perdues en raison de grèves.
En sa séance du 22 juin 2015 (
