Ce samedi 27 avril, avait lieu à Liège la finale de la célèbre dictée du Balfroid.  Deux élèves de l'école Saint-Joseph de Wellin s'étaient qualifiés pour y participer : Amandine Demars et Nicolas Depoorter.  C'est déjà une très belle performance d'être arrivé à ce stade.  Au total, ce sont 355 élèves qui ont participé à cette finale.

Les meilleures "performances" ont été réalisées par quatre participants avec  seulement deux fautes.  Nicolas fait partie de ces 4 lauréats.  Ils ont finalement été départagés par une liste de dix mots.  Après cette ultime étape, il termine à la quatrième place, au pied du podium donc.   A noter toutefois qu'il réalise la même performance que les plumes d'or, d'argent et de bronze avec seulement deux fautes dans la dictée (voir le texte ci-dessous).

Les prix ont été remis par monsieur Willy Borsus, Ministre-Président de la Wallonie.

Félicitations à Nicolas pour son excellente prestation et à Amandine pour avoir atteint ce stade de la compétition.

La vidéo de la compétition : cliquez ici

Le texte de la dictée (+ 10 mots)

La cinquième édition du salon du livre de Wellin a eu lieu ce dimanche 2 décembre.  Cette organisation est le fruit de la collaboration entre la romancière Karima Azzaoui (cliquez ici), la Commune de Wellin et le Service du Livre Luxembourgeois (cliquez ici et ici).

Moins de monde que les années précédentes.  L'absence de "grands noms" y est sans doute pour quelque chose.  Malheureusement, les organisateurs ont du faire face à de nombreux désistements.  Pas facile d'organiser un tel événement dans une commune rurale!

Toutefois, une bonne trentaine d'écrivains luxembourgeois avaient répondus à l'appel du service du livre et ont pu rencontrer le public.  C'est toujours un plaisir, aussi bien pour les lecteurs que pour les auteurs, de pouvoir se rencontrer et d'échanger leurs impressions.

En début d'après-midi, il a été procédé à la remise du prix des écoles pour le concours d'écriture qui avait été lancé avec comme thème "De l’autre côté de La Fontaine" (pour le règlement : cliquez ici).  Ce concours, comme chaque année, était patronné par la cellule Haute-Lesse de la Maison de la Culture de Marche-en-Famenne.  Il s'agissait en l'occurrence pour les élèves des classes de la 3ème à la 6ème primaire de réécrire de façon ludique et selon des règles précises des fables classiques de Jean de la Fontaine.  Deux catégories avaient été définies : une pour les 3èmes et 4ème primaire, l'autre pour les 5ème et 6ème primaire.  9 classes ont participé à ce concours.  Les prix ont été remis par Anne Bughin, Etienne Lambert et Anne Davreux, sous le patronage d'Emilie Lecuivre, représentante de la maison de la culture.  Voici les résultats :

Catégorie 1 (3ème et 4ème primaires)

• 1er prix: classe de 3è et 4è primaire de l'école communale de Haut-Fays: Une fin d'animal (Aurélie Baudon) - cliquez ici pour lire le texte
• 2ème prix: classe de 3è et 4è primaire de Bure: "Le vautour et le cygne"(Mme Caroline Deprez) - cliquez ici pour lire le texte
• 3ème prix: classe de 3è et 4è primaire de l'école de Porcheresse: "L'ode la fontaine" (Mme Marie Françoise Jacquemin) - cliquez ici pour lire le texte
• Prix de participation pour la classe de 3è et 4è primaire de l’école communale de Resteigne : "La mygale et le ouistit" (Mr Benoit Gobert) - cliquez ici pour lire le texte

Catégorie 2 (5ème et 6ème primaires)

• 1er prix: 6ème primaire de l'école libre st joseph de Wellin: "Père Noël et Saint-Nicolas" (Aline Henrotte) - cliquez ici pour lire le texte
• 2ème prix: 5ème et6ème primaire de l'école communale de Tellin: "Langerfeld et la mode" (Alain Cambron) - cliquez ici pour lire le texte
• 3ème prix: 5ème primaire de l'école Libre Saint-Joseph de Wellin: "La laitière et le prince Philippe" (Allan Pierrard) - cliquez ici pour lire le texte
• Prix de participation pour la classe des 5è et 6è primaire de Porcheresse : "Un fabuleux festin" (Un fabluleux festin.pdf)(Terry Ferrarese) et les 5è et 6è primaire de l’école communale de Resteigne : "Le coup de sifflet final" (Le coup de sifflet final.pdf)(Mme Solange Deloyer)

Dans l'après-midi, Saint-Nicolas a distribué bonbons et livres aux têtes blondes, brunes ou rousses qui l'attendaient avec impatience et parfois un brin d'appréhension dans les locaux de la bibliothèque...  Le Père Noël s'était également invité et accueillait les visiteurs avec sa bonhomie légendaire.  Les deux personnages ont d'ailleurs fini par se rencontrer sous l'égide de l'organisatrice (voir photo)...

En outre des contes et du grimage avaient été réservés aux enfants.  Pendant ce temps, les parents pouvaient partir à la recherche d'un livre et se le faire dédicacer par un des écrivains présents.  Ils pouvaient également se sustenter en cuisine ou se rafraîchir au bar...  Une très belle journée pour tout le monde...

Félicitations aux organisateurs et aux nombreux bénévoles qui ont fait vivre le salon cette année.  Gageons que la sixième édition est déjà sur les rails et qu'elle nous réservera de belles surprises, de belles rencontres et de belles découvertes...

L'album-photos : cliquez ici

Aujourd'hui, les enfants reçoivent des cadeaux à longueur d’année.  À la St-Nicolas, bien sûr, mais aussi à Noël, aux anniversaires, Halloween, etc. tandis qu'à mon époque, la Saint Nicolas était la seule fête de l’année où nous recevions jouets et bonbons.

Noël était essentiellement une fête religieuse. Les grands allaient à la messe de minuit et les petits restaient à la maison, gardés par la grand-mère.  La Saint-Nicolas était donc la seule fête où enfants, nous recevions des cadeaux.

L'anecdote suivante se passe à la période où je commençais à douter de la réalité de Saint-Nicolas.

A l’école, dans ma classe, deux clans s’étaient formés concernant le bon Saint. Il y avait ceux qui y croyaient et ceux qui prétendaient qu'il n’existait pas, et que c’était les parents qui, pendant la nuit, apportaient cadeaux et bonbons.

Bref, je doutais, et commençais à fanfaronner, ce dont papa et maman s’étaient rendu compte. Mais comme j’étais l’aîné, il était indispensable que je ne vende pas la mèche. Mon frère, René, était trois ans plus jeune que moi, et bien sûr, lui était encore fermement convaincu de l’existence du bon Saint.

C’était donc moi qu’il fallait une dernière fois convaincre.

Chez nous, la semaine qui précédait la visite du Grand Saint, celui-ci avait pour coutume de passer voir le soir si les enfants avaient été sages.  Et cette semaine-là, tous les soirs, nous mettions nos cahiers de devoirs et nos souliers à la cheminée, avant de chanter une chanson à Saint Nicolas.  Et le lendemain, des bonbons, se trouvaient dans nos souliers.

Un soir, alors que nous commencions ce rituel, moi avec le petit air entendu de celui à qui on ne la fait plus, Maman nous fait taire.

- N’avez-vous rien entendu nous dit-elle ?

Tout le monde écoute. Silence, rien, puis on entend marcher dans la chambre à coucher des parents qui se trouvait juste au-dessus d’où nous nous trouvions !

- Ça alors ! C’est Saint Nicolas, nous dit papa, là c’est sûr...

Moi, je souris, puis rapidement je fais le tour de ceux qui sont dans la salle à manger et … tout le monde était là !

Ma tête ! Papa est là, maman et marraine (ma grand-mère Jeanne) sont là, René mon frère aussi, il ne peut donc y avoir personne en haut ! Puis tout d’un coup, boum boum boum! Trois coups (de crosse ?), et par le trou de chaleur qui était pratiqué dans le plafond, une main gantée de blanc apparaît et jette des bonbons.

Alors là, aussi grand et fier que j’étais deux minutes auparavant, en trois secondes j’étais sur les genoux de maman. Plus «serré» encore que René, qui lui bien sûr n’y voyait rien que de très normal, tandis que moi, j'étais prêt à perdre la foi…

Alors papa et maman nous ont demandé de chanter une chanson à Saint-Nicolas pour le remercier, bien fort, et ils ont chanté avec nous, bien fort aussi, … pendant que la voisine, Madame Dechène, descendait l'escalier et se sauvait sur la pointe des pieds.

Ça y était, j’étais re-convaincu, j’avais retrouvé la foi, et dès le lendemain, je partais en croisade à l’école pour convaincre les incroyants et ranimer leur foi envers St Nicolas.

Jo

Ce dimanche a eu lieu la deuxième édition du salon du livre “La plume et l’encre” à la Maison des Associations de Wellin.  Cet événement a été mis au point par la Commune de Wellin, Karima Azzaoui et le Service du Livre Luxembourgeois (cliquez ici et ici).  Cette année, les organisateurs avaient décidé de mettre les enfants à l’honneur au travers de différentes activités. 

La journée a commencé par la traditionnelle séance académique et les discours des divers intervenants.  La Bourgmestre Anne Bughin a rapidement cédé la parole à Bruno Meunier, échevin de la culture.  Le discours de Monsieur Meunier : cliquez ici.  Le député provincial Patrick Adam qui a en charge cette matière a ensuite rappelé l’importance du livre, de la culture et de l’éducation spécialement dans la période troublée que nous traversons (cliquez ici).

Benoît Pirson, le gestionnaire des bibliothèques de Tellin et Wellin, a alors proclamé les résultats du concours d’écriture organisé avec la Cellule Culturelle de la Haute-Lesse.  Ce concours était destiné aux enfants des écoles de la région.   Il s’agissait d’écrire une nouvelle ayant pour thèmes « le livre » et « Saint-Nicolas ».  Huit classes de 3ème, 4ème, 5ème et 6ème primaire y ont participé.  Le palmarès, le jury et les prix : cliquez ici.

La journée s’est poursuivi autour d’une cinquantaine d’écrivains régionaux qui étaient présents pour présenter et dédicacer leurs livres.  Le public a également pu (re)découvrir l’exposition « Sors de l’ordinaire » qui rassemblait les œuvres de plusieurs jeunes artistes locaux.  Divers ateliers de jeux, de grimage, de contes, de bricolages, de gravure, de reliure et de vente de livres pour enfants agrémentaient les locaux de le MDA, le tout animé par Michel Reins de Radio Nostalgie.  Les enfants ont donc pu se divertir et apprendre des choses tout au long de l’après-midi.  La visite de Saint-Nicolas, qui a distribué livres et bonbons, a également été très appréciée des plus jeunes, tandis que les moins jeunes ont profité du bar et de la petite restauration…

Félicitations aux organisateurs et aux bénévoles qui ont fait de cette journée une belle réussite.  Gageons qu’ils planchent déjà sur la prochaine édition de ce salon du livre, unique dans la région…

L'album-photos : cliquez ici

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A cette époque, je faisais partie d'un clan de "routiers-scouts" dont l'une des activités consistait à réaliser des petits spectacles.

Ceux-ci ce divisaient en trois parties, une représentation théâtrale, un numéro de magie avec fakir, et un spectacle de clowns.

Dans cette troupe, nous étions tous polyvalents.  Moi-même, si j'avais un petit rôle dans la pièce de théâtre et que, parfois, je remplaçais l'assistant du fakir, ma fonction principale était celle de clown.

Nos publics étaient les maisons de repos pour personnes âgées et les enfants dans les fêtes d'écoles.

Et en ce début décembre 1948, nous avions été demandés pour une fête de St Nicolas à Pepinster, faubourg de Verviers, à l'intention des enfants d'anciens prisonniers de guerre.

La ville de Pepinster avait mis les petits plats dans les grands, car en plus de notre troupe (nous nous appelions "les Fraternillis") il y avait un autre groupe, une chorale, comme nous de scouts routiers, qui elle venait de Bruxelles et s'appelait l'Equipe de la Flamme.

Nous les Fraternillis, passions les premiers, ensuite venait l'équipe de la Flamme. C'était une excellente chorale, avec notamment un très bon soliste, un grand maigre, comme moi (à l'époque) bien qu'un peu plus âgé.

Ce n'est que beaucoup d'années plus tard que nous avons appris que le soliste de l'équipe de la Flamme n'était d'autre que … Jacques Brel.

J'ai eu la chance de pouvoir assister au spectacle de ses adieux à la scène, aux Beaux Arts, à Bruxelles pendant les années 60. Comme ce jour là j'étais au balcon, c'est normal qu'il ne m'ait pas reconnu...

La vie à démontré que pour réussir dans le spectacle il valait mieux être choriste que clown, mais je peux quand-même me vanter d'avoir un jour fait partie de la même affiche que Jacques Brel...

Jo

Un vieux garage, trois potes, un peu de musique ... C'est l'ambiance habituelle depuis bientôt trois ans (2011) et qui à vu naître sur les hauteur de Molinchamps (Wellin) le groupe Two Too Close.

C'est dans cette ambiance là également que se sont construites les compositions personnelles du genre "Rock garage" ou autres balades "musclées" que Nico (Nicolas Gauthier) agrémente de ses solos et accompagnements pulsés, Benja (Benjamin Davreux) d'une basse rigoureuse et Julien (Julien Feron) d'un fond de guitare en plus du chant.

"On n'est pas des professionnels mais c'est ce qui fait notre beauté!!"  C'est dans cet esprit que les trois amis sortent de leur garage et viennent vous présenter petit à petit leur musique pour, on l'espère, votre plus grand plaisir. Ce n'est pas la première expérience musicale pour Nico et Benja puisqu'ils ont déjà fait partie du groupe "Well'in Cover" auparavant.  En revanche, pour Julien, c'est un premier départ!

Ils sont en concert ce vendredi à 20h à Sohier à l'occasion du Week-end Bières Spéciales...  Leur page facebook : cliquez ici

Le samedi 30 novembre à 14h00, Saint-Nicolas recevra ses petits amis wellinois à la salle de Lomprez (voir affiche ci-dessous). A cette occasion, le tout nouveau spectacle les «Magigoulus» intitulé «c’est Ma zique» leur sera proposé... Pas de trucage, tout est réel, il suffit d’ouvrir bien grand votre cœur, vos yeux, votre bouche et vos oreilles !  Au pays de l’imaginaire, venez assister au défilé des dompteurs de notes de la Compagnie des Magigoulus mais aussi déguster leurs chansons maziques à fredonner sans modération!

Cliquez sur l'affiche pour l'agrandir