Halma (Wellin) : kermesse les 20, 21 et 22 octobre
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Vendredi 24 au soir :
Soirée animée par Michel Collignon (French Kiss) - Entrée 5€
Samedi 25 :
À 14h00 : Marche groupée et familiale à la découverte du village de Sohier et de ses environs. (distance +/- 8 Km)
Départ du chapiteau. Participation gratuite. Infos et renseignements : Cédric Crémer 0476/63.53.31
À 15h00 : tournoi de Mijole
En soirée : concert du groupe Kitsch Kool Orchestra (anciennement "La Compagnie Picole")- Entrée 5€
Dimanche 26 :
Dès 15h00 : ambiance familiale avec Pascal Fortuné.
Le site internet : cliquez ici
Introduction à la botanique pour la balade guidée du 5 mai 2019 (voir ci-dessous)
Éléments d’organographie végétale : découvrez les différents aspects que prennent les différents organes des végétaux : feuilles, fleurs, tiges...et les noms qui sont donnés à ces variations. Cette connaissance de base est importante pour pouvoir évoluer à l’aide d’une flore.
• Lieu de rendez-vous : Laboratoire de la Vie rurale à Sohier
• Heure : 18h
Par Michel LOUVIAUX
Cette séance est ouverte à tous et surtout à ceux qui veulent se lancer dans la botanique et pouvoir répondre à cette question : mais quel est donc le nom de cette fleur que je vois le long du sentier ? Les botanistes aguerris sont aussi les bienvenus pour se remémorer les termes botaniques.
Ne convient pas aux enfants de -14 ans.
BALADE GUIDEE - 5 MAI 2019
Mise en pratique des notions vues le vendredi et détermination à l’aide d’une flore de quelques plantes rencontrées.
Guidée par Michel LOUVIAUX
• Lieu de rendez-vous : Laboratoire de la Vie rurale à Sohier
• Départ : 14h
• Durée : +/- 3h
• Difficulté : facile
• Entre 20 et 25 personnes maximum
• La conférence et la balade sont au prix de 5€/personne, 2,5€ pour les 6-15 ans et gratuit pour les -6 ans pour les deux.
• Réservation au plus tard le 1 mai 2019 au 084/41.33.59 ou tourisme@wellin.be
Prévoir des chaussures et des vêtements adaptés aux promenades et aux conditions météo ainsi qu’une gourde et éventuellement un en-cas. Cette balade n’est pas accessible aux poussettes/PMR.
Il y a quelques semaines, une septantaine de Wellinois embarquaient dans un car en direction de Bruxelles afin d'enregistrer l'émission "Septante et un" spéciale bourgmestre dans les studios de RTL TVI (cliquez ici). Cette émission sera diffusée ce mercredi 20 mars à 18h30. Une occasion de voir comment s'en est tiré notre bourgmestre face à 70 de ses concitoyens dans ce jeu animé par Jean-Michel Zecca. Il y aura moyen de la revoir via le site "rtlreplay", je vous insérerai le lien sur le blog de Wellin dès qu'il sera disponible.
A noter que deux autres émissions ont été tournées avec le même public et des candidats wellinois. Une de celles-ci a déjà été diffusée le 8 mars dernier (cliquez ici). La dernière sera diffusée le 25 mars prochain.
Le site internet de statistiques belges : cliquez ici
"Chanly et son moulin, un millénaire de vie commune"
"Ce livre retrace la vie du moulin de Chanly, devenu scierie, des origines (fin du 10ème siècle) à nos jours. Plus de 50 meuniers connus et pas mal de transformations en ont fait une scierie, une talonnerie et boissellerie. Grace à Michel Mahy, elle continue son chemin. C’est une des dernières belles industries de la commune de Wellin qui mérite d’être connue.
Il retrace aussi la vie dans une région plus vaste, il évoque les différentes industries présentes dans l’entité de Wellin depuis des siècles. Les lecteurs y retrouveront leurs racines. Beaucoup de témoignages parfois disparus viennent accentuer l’aspect local de ce véritable monument de la vie wellinoise. Il s’agit d’un ouvrage de plus de 230 pages format A4 en couleur."
Yvon Barbazon
Pour vous procurer le livre « Chanly et son moulin, plus d’un millénaire de vie commune », voici les moyens de contacts :
Il semble que ces temps-ci, notre commune est destinée à faire l’actualité, tant au point de vue local que national.
Il y a bien sûr, en tête, ce problème de risque d’effondrement de la maison communale qui a nécessité le déménagement du personnel vers les locaux de l’ex-gendarmerie et l’insécurité concernant l’importance des dégâts et la durée des travaux. Tant la presse régionale que la nationale ont relayé cette nouvelle, sans parler de TV Lux.
Mais heureusement concernant Wellin et l’actualité, il y a des nouvelles plus agréables qui, elles, ne peuvent apporter que des sourires et ne peuvent donc qu’être favorables à notre commune.
D’abord celle qui concerne l’émission de RTL, « L’amour est dans le pré », qui a sélectionné un de nos concitoyens, Florian Jacoby qui, me dit-on, à déjà fait deux apparitions dans cette émission et semble bien parti pour continuer.
Puis maintenant voilà que c’est notre Bourgmestre qui aurait été invitée, elle aussi par RTL, pour participer à l’émission quotidienne « Septante et un » de Jean-Michel Zecca qui passe en soirée à 19h30.
Pour ceux qui ne connaissent pas cette émission : il s’agit d’un jeu dont le but du candidat est d'éliminer les 70 personnes du public. Pour cela, il peut choisir entre 10 fois trois questions de culture générale auxquelles lui-même et le public devront répondre. Il s’agit d’une émission très regardée car lancée le 4 août 2003, elle a fêté fêté sa 3.000ème édition le 11 février 2015.
Pourquoi notre Maïeure aurait-t-elle été sélectionnée ?
Jean-Michel Zecca, afin d’apporter du piment à ses émissions, organise régulièrement des soirées à thème, les mercredis. Parfois ce sont des militaires, des policiers ou autres groupes qui participent à ce jeu et forment le public en studio. Cette fois, les candidats chargés d’éliminer les 70 concurrents du public, sont les bourgmestres d’une commune wallonne.
Cette initiative semble être bien accueillie par le public, d’autant plus que de nombreux supporters régionaux en profitent pour accompagner leur Maïeur faisant ainsi partie du public en studio.
Voilà une bonne occasion qui, en plus de faire connaitre notre commune, permettra peut-être d’encaisser une somme rondelette qui viendrait bien à point en ce moment à notre trésorier communal au moment ou de fortes dépenses imprévues lui tombent sur le dos.
Bonne chance à Florian et à notre Maïeure.
Jo
Le site internet : http://rienne-tribute.be/
La semaine passée, ma brève vouait aux gémonies ces bourreaux de nos tympans, dont l’intellect, dit-on, serait proportionnel à la volupté qu’ils éprouvent à se vautrer dans une débauche « décibellienne » (cliquez ici). Si celui qui a découvert cette relation de cause à effet ne se trompe pas, que penser alors des responsables de l’acoustique dans les cinémas et à la télévision. Je pense en effet que, comme moi, vous aurez remarqué que, d’ambiance ou musical, le bruit de fond dans les films est devenu tel qu’il nuit de plus en plus à la bonne compréhension des dialogues.
Oui, je sais que les mauvaises langues en profiteront pour me faire remarquer que cela pourrait plutôt provenir d’une altération de l’acuité de mon sens auditif, tenant compte d’une accumulation d’années qui deviendrait… conséquente. Ce à quoi je répliquerais que, quel que soit la qualité de mon ouïe, quand je parle de ce problème à d’autres personnes, elles me confirment régulièrement être gênées par ces bruits de fond. Pourtant, en fonction de leur âge, certaines d’entre elles ne peuvent être suspectées d’être dur de la feuille. Je ne suis donc pas le seul dans le cas…
Le pire, c’est qu’aux moments les plus pathétiques du film, les réalisateurs ressentent ce besoin irrésistible d’en rajouter à l’effet visuel et lâchent la bride de leurs musiciens. Du coup, ceux-ci se ruent dans une véritable débauche de décibels dont le but avoué serait de nous rendre pantelants devant l’écran. Toutefois, le résultat est finalement de rendre incompréhensible le dialogue des acteurs.
Que faire dans ce cas? Si vous êtes devant votre TV et êtes l’heureux propriétaire d’un décodeur, pour ne rien perdre, vous pouvez toujours revenir en arrière afin de réécouter la séquence et essayer de comprendre le nom de l’assassin. Ou encore en arriver à faire défiler la scène au ralenti en essayant de lire sur les lèvres des acteurs. Malheureusement, cela ne fonctionne pas toujours !
C’est une des raisons pour laquelle je préfère personnellement voir ou revoir des anciens films, où la priorité était donnée à des dialogues, dont la qualité et la recherche était l’une des composantes principales du spectacle cinématographique. De l’Audiard dans la bouche d’un Gabin n’avait nul besoin d’un bruit de fond. Et si parfois, grâce à mon décodeur, je reviens en arrière pour repasser une réplique de Gabin dans « Le cave se rebiffe » ou « Un singe en hiver », par exemple, ce n’est pas parce que je ne les ai pas compris, c’est pour en jouir une fois de plus.
Mais que faire ? Les possibilités que nous offre à ce jour la technique devraient pourtant pouvoir nous permettre, tant pour les films que pour les événements sportifs, de les émettre chacun avec deux canaux différents. Pour les films, un canal pour l’image et le dialogue et l’autre pour les bruits de fond, et pour les événements sportifs, un canal pour l’image et le commentaire, et l’autre pour le bruit de fond. C’est certainement possible.
Rappelez-vous le scandale des « Vuvuzelas » en 2010 à la coupe du monde de football en Afrique du Sud et les controverses suscitées lors des retransmissions, quand le bruit de ces instruments rendait les commentaires inintelligibles. Bis repetita.
Jo
P.S. : A propos, il est fort possible en effet que mon ouïe ait pâti du poids des ans, mais je ferais remarquer qu’en vertu du fait que l’humain vit de plus en plus vieux, nous serons très vite une majorité de « durs de la feuille ». Et comme l’âge, qui nous éloigne de plus en plus des terrains de sports nous rapproche de plus en plus de nos postes TV, ces messieurs, pour qui les quotas d’audience sont essentiels, devront bien finir par tenir compte de ce problème…
La cérémonie solennelle de proclamation des résultats et remise des prix se passait chaque fin d'année scolaire dans la salle du cinéma Pathé, qui se trouvait juste à côté de l’institut, et dont les chers frères en étaient d’ailleurs propriétaire.
Ce cinéma, un des plus grands de la ville, possédait un balcon et une magnifique scène, comme un théâtre, ce qui donnait à cet événement un décorum digne de celui des universités américaines comme nous l’ont montrés les films des années 50/ 60.
Le grand jour venu, assis sur la scène trônait une brochette des hautes personnalités laïcs, régionales et une autre de personnalités religieuses.
Sur les côtés de la scène on devinait de grandes tables sur lesquelles s’accumulaient les livres qui lors de la distribution des prix, devaient être distribués aux meilleurs élèves.
Dans la salle, assis dans leurs fauteuils, les parents d’élèves devaient certainement être aussi stressés que nous car, jusqu’au moment d’arriver sur scène ni eux, ni nous n'avions la moindre idée quant à nos résultats, le suspense était total.
En commençant par les plus petits, l'entrée des classes se faisait par les coulisses, classe par classe présentés par un des frères et sous les applaudissements des parents. Le spectacle commençait.
- "Premier de la classe, avec 98,5 pour cent des points, Untel."
Crépitement d’applaudissements et passage de l’élève devant les personnalités et les professeurs pour recevoir leurs félicitations. Ensuite, il était dirigé vers la table ad hoc pour recevoir ses prix et reprendre sa place dans le rang lourdement chargé.
Puis deuxième, troisième etc. chacun recevant inexorablement sa numérotation, jusqu'au dernier, (trente-troisième un tel etc). y compris ceux qui devaient doubler, ce qui aussi ne manquait pas d'être annoncé sur scène.
Faut pas demander le stress qui nous tenaillait, au fur et à mesure que les noms s’égrenaient, chacun espérant chaque fois que le suivant serait le sien ! Et je suppose qu’il en était de même pour les parents.
Si les applaudissements crépitaient pour les quelques premiers, ils diminuaient bien sur progressivement, laissant finalement place à l’indifférence pour ceux qui défilaient et rejoignaient leur place les mains vides. Mais pourtant, tous devaient y passer!
Mis à part pour les quelques premiers, quel horrible souvenir.
Personnellement, conscient de mes possibilités je ne m’attendais jamais à recevoir un prix ou l’autre, mais j'espérais tant (pour mes parents surtout) me trouver au moins dans la première moitié du classement.
Une fois la distribution des prix terminée, nous retournions dans la cour de l’école ou nos parents pouvaient venir nous chercher. Le stress était tombé et nous n’avions plus qu’à promettre de faire mieux l’année prochaine.
Avouez quand même que, question de pédagogie, il y avait de sérieux progrès à faire...
Jo
Imaginez, une promenade dans un village d’antan où les habitants vous ouvrent les portes pour vous conter des légendes ardennaises. De vieilles chaumières chauffées au bois, parfumées par des effluves de chocolat, de vin chaud ou de galettes cuites dans un vieux gaufrier. Un après-midi de novembre passé en famille dans un cadre de bien-être, un après-midi alliant culture, nature et divertissement. Voici un aperçu des « Veillées d’Ardenne ». Le Fourneau Saint-Michel vous invite à partager ces moments enchantés le 30 novembre sur son Domaine provincial.
A l’initiative du député Patrick Adam, les conteurs Anne-Catherine Grosjean, Anne Laroche, Alain Barnich, Elisabeth Mertens et Marie-Hélène Gheysens seront, temporairement, les résidents des bâtisses du Domaine. Les conteurs se relaieront à partir de 13h00, et ce durant toute l’après-midi. Emma Loos sera la conteuse «coup de cœur» qui clôturera la journée vers 17h00 autour d’une généreuse soupe.
De plus à quelques jours de la visite de Saint Nicolas dans nos foyers, le Grand Saint fera une halte au Domaine pour offrir aux enfants des sachets de bonbons durant toute l’après-midi.
Les Veillées apportent un côté intime et magique au Fourneau, une bien belle manière de terminer la saison 2014…
Le programme : cliquez ici
Le Domaine du Fourneau Saint-Michel, participe le dimanche 19 octobre au Week-End du Bois. Evènement phare de la filière forêt-bois, le domaine du Fourneau Saint-Michel vous propose de découvrir cette dernière à travers le passé.
A partir de 13 h jusque 17 h les agents du Fourneau feront des démonstrations de leur savoir-faire en transformation du bois. Au programme : Elagage, tournage sur bois, ancienne scierie en activité, sciage manuel, débardage, tir à l’arc à l’ancienne, construction d’une hutte de bûcheron… Sans oublier le savoir-faire unique qui fait la fierté du Fourneau Saint-Michel : le cerclage de roue. Des artisans extérieurs proposeront leur savoir-faire comme la fabrication de sabot ou encore du bûcheronnage ; et des moments contés raviront petits et grands plusieurs fois sur l’après-midi.
Parmi les nombreuses activités proposées dans la province lors du week-end du bois, le Fourneau Saint-Michel se distingue par un large éventail d’animations dans le cadre somptueux de la vallée de la Masblette.
Les 20 et 21 juillet, le Domaine provincial du Fourneau Saint-Michel organise son événement phare : "Les d’jins d’amon nos ôtes". Festival de vieux métiers étendus sur une surface de 40 ha, plus d’une soixantaine d’artisans prennent possession des lieux et donnent vie au site.
Dès 09h30, et pour seulement 5 €, vous pourrez découvrir, un sabotier, un luthier, de la broderie, du tournage sur bois, de la vannerie, la fabrication de marionnettes liégeoises, … pendant que d’autres proposent leurs produits de bouche régionaux.
Pour les plus jeunes, une fête foraine est installée dans le domaine. Des jeux de massacres aux anciennes balançoires, les plus petits plongeront dans une ambiance de fête d’antan pour un plaisir authentique.
Les agents provinciaux démontreront leur savoir-faire unique en Wallonie comme la pose de torchis, la cuisson des cougnoux, des tartes et galettes au feu de bois ou encore l’incontournable cerclage de roue.
"Les d’jins d’amon nos-ôtes", c’est aussi l’occasion de découvrir de nombreux artistes qui égayeront le site du Fourneau Saint-Michel. Durant toute la journée, des concerts, théâtre de marionnettes, danse folklorique, contes, … se relayeront pour vous faire (re)découvrir le site sous un nouvel angle.
Premier événement créée 1982 au Fourneau Saint-Michel, son succès n’a fait que croître au fil des années. L’année dernière, l’animation « les djins d’amon nos-ôtes » a réuni plus de 6.000 personnes sur les deux journées. Une réussite qui ne s’est jamais démenti...
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Perdu durant le week-end de Toussaint, dans la rue de la Station (ou à proximité), un petit chat de 5 mois roux tigré blanc. Sa jeune maîtresse, Lucie, en est très affectée et triste. Elle attend son retour avec impatience. Une récompense si vous lui faites retrouver sa petite boule de poils.
Pour toutes informations ou retour du chaton, contactez Virginie Paridaens- 084/34.59.64 - rue de la Station, 2 à 6920 Wellin.
Merci pour elle...