Ciné-Gedinne : programme du 13 au 21 janvier...
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Le site internet : http://www.cine-gedinne.be/
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Conformément à l'accord de majorité signé en décembre 2012 entre les groupes "Osons" et "Union Communale", la présidence du CPAS a changé ce lundi soir lors du Conseil Communal. En effet, tout de suite après la démission de Monsieur Thierry Damilot, Monsieur Valéry Clarinval a prêté serment comme nouveau Président du Centre entre les mains de la Bourgmestre et de la Directrice Générale. Madame Bughin lui a ensuite remis l'écharpe de sa fonction tandis que Monsieur Damilot lui cédait symboliquement les clefs du CPAS pour les trois prochaines années.
Ce jeudi 7 janvier, lendemain de l’Épiphanie, les aînés se sont réunis pour la première fois cette année à la maison des associations pour leur traditionnelle après-midi de jeux de cartes. Ils ont ensuite partagé un goûter au cours duquel fut dégustée les galettes des rois : deux reines et deux rois ont été élus. Ils ont été rejoints par quelques courageux marcheurs de la Haute Lesse.
Arthur Golinvaux
L'album-photos : cliquez ici
Vous êtes-vous déjà mis à la place de l’un ou l’autre de ceux qui décident pour nous ?
Nous venons d’avoir coup sur coup deux exemples, de ceux qui donnent à réfléchir.
Le premier est celui du bourgmestre de Bruxelles, quand il a fallu choisir entre permettre ou non le feu d’artifice du nouvel an et du rassemblement sur la Grand-Place.
Quoi qu’il fasse, il savait qu’il allait être critiqué. Mais ce n’était pas le problème, car un décideur, politicien de surcroît, sait que quoiqu’il décide, il sera toujours critiqué par une partie de la population. Il en a toujours été ainsi et il n’y a aucune raison que cela change.
Dans des circonstances normales, ces critiques n’interviennent que pour peu de chose dans la décision d’un décideur, sûr de lui, sauf en politique bien sûr où la décision sera fonction de l’importance de cette critique, et de son influence sur les prochaines élections.
Mais quand, comme à Bruxelles le jour du réveillon, il y a risque de mort d’hommes, il en va tout autrement. Car ici entraient en compte des vies humaines.
Et dans ce cas, il y avait peu d’alternative.
Et ceci m’amène à mon deuxième exemple, la fourniture d’armes par la Belgique (surtout la Wallonie) à l’Arabie Saoudite !
Cette fois, ce sont des gros sous qui sont en question, pas des vies humaines (ou du moins, pas les nôtres).
On parle ici de contrats qui dépassent allègrement les quatre milliards d’euros,
Alors, du coup, on calcule pour convertir cette manne céleste en postes de travail pour une région wallonne qui en a bien besoin !
Puis, second reflex, on devrait se sentir honteux de vendre du matériel létal à des gens qui….
Oui mais des gens qui quoi ???
Qui, tout simplement, en cas de refus de fourniture de notre part, nous obligeraient à acheter notre pétrole ailleurs et plus cher ?
Et surtout qui nous obligeraient à soumettre des centaines de ménages wallons aux affres du chômage ?
Et tout cela sans que le but de priver « ces gens-là » d’armement, car ils n’auraient vraiment pas la moindre difficulté pour trouver, à la minute, des autres fournisseurs qui déjà se pressent au portillon ! (sauf en cas d’un accord inter-européen, mais, s.v.p, restons pieds sur terre) !
Mais ne nous berçons pas de douces illusions, car de toute façon, tôt ou tard, ceux que nous qualifions aujourd’hui «d’inconvenables» (soyons quand même prudent dans notre vocabulaire!), pourraient devenir soudainement nos amis, comme cela se voit de plus en plus souvent au gré des alliances qui se font et se défont sous l’égide du tout grand capital.
A suivre...
Jo
- Vendredi 15 janvier : de 09h30 à 15h30
- Mercredi 20 janvier : de 09h30 à 15h30
- Lundi 25 janvier : de 09h30 à 15h30
N.B. : Je ne connais malheureusement pas les emplacements exacts, cela serait trop beau... De plus, le radar est mobile... La meilleure solution : rouler prudemment et respecter les limitations de vitesse...
Le "tarif" des diverses amendes : tarif amendes (cliquez)
Comme chaque année, les jeunes de Wellin vont procéder au ramassage des vieux sapins de Noël. Ceux-ci serviront à monter le bûcher pour le grand feu. Cette collecte aura lieu le samedi 9 janvier uniquement dans le village de Wellin. Il vous suffit de mettre votre sapin bien en vue le long de la voie publique...
La police fédérale a publié un nouvel appel à la prudence ce mercredi, sur son site internet et via les réseaux sociaux, afin que la population se méfie d’un type d’arnaque qui n’est pas nouveau, mais qui a fait plusieurs victimes ces derniers jours : une fausse amende au nom de la police fédérale... Voici ci-dessous cet appel :
"Depuis quelque temps circulent de faux e-mails au nom de la police fédérale vous réclamant de payer une amende. C'est parfois même sous forme de rappel de retard de paiement.
Ces mails sont de plus en plus "professionnels" mais ceux-ci restent bien sûr des tentatives d'escroquerie!
La police (fédérale) n'envoie jamais ce genre d'e-mail et ne demande jamais de payer les amendes par internet!
Ne cliquez pas sur les liens (possibilité de virus) et surtout ne payez pas.
Les mails peuvent parfois un peu changer mais la manière de procédé des escrocs reste la même.
Chaque fois il est proposé de payer avec un mode de paiement plus ou moins anonyme, comme le paiement 3G ou Ukash." (source : cliquez ici)
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Cette année encore, le comité de Chanly vous invite à venir partager le verre du nouvel an. Ils vous attendrons le samedi 9 janvier au local du Tombois dès 18h. Le premier verre vous sera offert. Vous pourrez en outre déguster une assiette de délicieuse tartiflette. Bienvenue à tou(te)s...
Itinéraires de Wallonie salue…
Le 23 septembre 2012 L’ASBL « Itinéraires de Wallonie » interrogeait, via le Blog de Wellin, les 4 listes candidates aux élections de 2012 sur leurs engagements en matière de petite voirie (cliquez ici).
Le 3 octobre 2012 l’association, sans aucun parti pris, se réjouissait de leur prise de position respective. Ces dernières oscillaient entre la simple considération généraliste à celles beaucoup plus formelles parfois assorties de précisions quant à certains chemins vicinaux problématiques (cliquez ici). Au rang de ceux-ci, par la voix de Madame Anne Bughin, la liste « Osons » prenait même un engagement formel et écrit concernant deux chemins publics.
Ainsi étaient cités d’une part le chemin n°61 reliant Fays-Famenne à Haut-Fays et traversant une vaste et importante propriété privée notablement connue ; et d’autre part le chemin n° 1 de Chanly, chemin historique dit « des pèlerins de Givet à Saint-Hubert » (mieux connu sous l’appellation « Route de Mirwart »). Celui-ci étant enclavé dans une prairie agricole.
Qu’en est-il à l’heure actuelle ? (Cliquez sur les cartes pour les agrandir)
Au moment où toutes les influences, tant législatives que citoyennes allaient dans le sens de la défense de la voirie publique, les usurpateurs privés firent preuve de « jusqu’au-boutisme ». Le Collège communal a donc dû se résoudre à porter le dossier devant la justice.
Le 4 septembre 2015, Monsieur le Juge de Paix du Canton de SAINT-HUBERT condamnait la défenderesse :
Bien que ce jugement soit susceptible d’appel, l’ASBL « Itinéraires de Wallonie » salue et souligne le respect des engagements nommément précités.
Le chemin 1 de Chanly
Grâce à beaucoup de bonne volonté de la part du propriétaire, du locataire mais aussi de l’administration communale, la législature en place parvient à faire aboutir le dossier par une voie de conciliation.
En effet, sur base de divers conseils, dont ceux de notre ASBL, une voirie « conventionnelle » conforme au décret 2014 fut proposée au Conseil communal.
Ainsi, en séance du 21 décembre 2015 (cliquez ici), le Conseil acceptait à l’unanimité et de façon constructive, la création de cette voirie conventionnelle.
Itinéraires de Wallonie, ASBL indépendante et neutre, ne peut que saluer ici le respect des engagements préélectoraux. Elle restera encore et toujours attentive et coopérante afin d’œuvrer à la résolution de certains dossiers notoirement connus.
Philippe Corbeel, Administrateur
Bien sûr, la critique est facile, bien sûr, mais…
Il y a des années et des années que notre pays pâtit d’un chômage important et que, parallèlement, il y a un manque patent de personnel dans toutes les branches de l’Administration de l’Etat.
Une Administration qui, en plus, se plaint d’éternels manque de moyens financiers, selon ce que l’on peut lire dans la presse de façon récurrente notamment :
A la police :
Le manque de personnel est particulièrement criant dans toutes les spécialités : proximité, scientifique, anti-terrorisme, circulation, etc. Concernant l’équipement du personnel, deux exemples invraisemblables mais pourtant biens réels suffiront . 1. Un agent sur deux n’a pas de gilet pare-balles. 2. Il n’y a pas d’armes pour tous les policiers.
Faut pas demander pour le reste.
Quant aux bâtiments qui abritent les différents services, ils sont vétustes et archaïques, leur équipement informatique, lui, est anachronique.
Chez les pompiers :
Ils sont logés à la même enseigne et, selon la presse, une partie du charroi est régulièrement immobilisé en panne. Ceux en état de marche sont parfois en manque de carburant, les caisses étant vides.
A la Justice :
Là, le manque de personnel à tous les niveaux est spécialement criant, certains diront « effrayant », ce dont profitent habilement les avocats des grosses affaires de détournements pour invoquer régulièrement le « dépassement de délais raisonnable ».
On sait aussi que le département de Justice responsable de l’envoi des P.V. pour infractions au code de la route, est incapable d’envoyer plus de 20 % des amendes faute de personnel.
Or, le montant annuel de ces PV était l’an passé de 1,398 milliard d’euros.
Vous avez dit gabegie ?
Et tout le monde connait la vétusté et l’insalubrité de la plupart des bâtiments relevant de la Justice. En plus l’équipement informatique y est inexistant ou désuet.
On est mis régulièrement au courant des rappels à l’ordre réguliers de l’Otan pour non-respect au point de vue du nombre de militaires sous les armes et de matériel « passé de date » ou tout simplement pas en ordre de marche.
Dans les prisons
Les gardiens s’y mettent régulièrement en grève pour manque de personnel ou pour obligation de travailler dans des locaux inadaptés, surpeuplés, et parfois, à la limite de la décence.
Et j’en passe et des meilleurs…
Je crois finalement pouvoir dire qu’il n’existe aucun service de notre Administration qui ne se plaigne tant du manque de personnel que de moyens financiers.
Pourtant, si l’on en croit l’agence Belga du 4 juin 2014, la Belgique est championne d’Europe toutes catégories concernant la fièvre taxatoire. Il n’y a pas pire.
Alors, allez comprendre ! Notre gouvernement est celui qui en Europe prélève le plus d’impôts mais malgré ça, il n’a pas les moyens d’engager, ni d’équiper son personnel, ni d’entretenir son patrimoine. Y'a pas un bug là ?
Jo
Voici l'ordre du jour du prochain Conseil communal qui se tiendra le lundi 11 janvier 2016 à 20h00 en la salle du Conseil de l'Hôtel de Ville de Wellin... Premier conseil de l'année 2016 : on y actera les changements d'élus, principalement au CPAS... Un deuxième conseil devrait avoir lieu avant la fin janvier...
SÉANCE PUBLIQUE
1. Conseillers CPAS : démissions, acceptations.
2. CPAS : Elections de plein droit en remplacement des conseillers démissionnaires.
3. CPAS : Démission de la fonction de Président.
4. Avenant n° 1 au pacte de majorité du 03/12/2012, adoption (cliquez ici).
5. Nouveau Président de CPAS : prestation de serment.
6. Dotation zone de police.
7. Modification budgétaire n° 2 2015 : notification décision Tutelle.
8. Tutelle générale : centimes additionnels au précompte immobilier, exercice 2016.
9. Règlements fiscaux : taxe communale sur l'inhumation, refus d'approbation.
10. Convention de mise à disposition d'une sculpture monumentale.
11. Acquisition d'une parcelle forestière à "La Hardie" (Froidlieu).
Le parc à conteneurs de Wellin (Rue Paul Dubois - Tél. : 084/38.92.67) sera fermé ces vendredi 1 et samedi 2 janvier 2016.
Horaire d'été (du 1 mai au 31 octobre) Du lundi au vendredi de 13h00 à 19h00 Le samedi de 9h00 à 18h00 |
Horaire d'hiver (du 1 novembre au 30 avril) Du lundi au vendredi de 12h00 à 18h00 Le samedi de 9h00 à 18h00 |
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Cette semaine, l'ami Jo s'est amusé avec un exercice de style qui a pour thème le mot "pied" et toutes les expressions qui s'y rapportent (cela s'appelle aussi "jouer avec les pieds"). Il m'assure que ce mot apparaît 81 fois dans le texte ci-dessous (j'avoue que je n'ai pas vérifié!)...
"Ce matin, bien que sur pied de bonne heure, je me suis levé du pied gauche. Etait-ce à cause de ma mise à pied de la veille par ce directeur bête comme ses pieds ? Huit jours qu’il m’avait mis à pied, le salaud ! Il ne se mouchait pas du pied.
D’accord, je lui avais peut-être marché sur les pieds, et j’avais, probablement, aussi mis les pieds dans le plat me mettant sur le même pied que lui en osant porter le même costume pied de poule !
Mais était-ce une raison suffisante pour ce casse-pieds de me toiser ainsi, de la tête aux pieds, tapant du pied comme un va-nu-pieds, pour me faire comprendre qu’en nous mettant ainsi sur un pied d’égalité, je foulais du pied la sacro-sainte hiérarchie ? Voulais-je lui couper l’herbe sous le pied ?
Cette fois-ci, je m’étais bien pris les pieds dans le tapis. Pire, je m’étais tiré une balle dans le pied.
Je n’avais pourtant jamais voulu lui marcher sur les pieds moi, car c’était lui, en son temps, jouant les marchepieds, qui m’avait mis le pied à l’étrier m’aidant ainsi à partir du bon pied dans la vie. Il n’a pourtant pas eu besoin de faire des pieds et des mains pour me sanctionner, il lui suffisait seulement d’appliquer le règlement au pied de la lettre.
Je n’avais jamais connu telle situation, et je commençais à lâcher pied me retrouvant au pied du mur, pieds et poings liés et ne sachant sur quel pied danser. Pourtant je devais tout faire pour ne pas perdre pied et éviter à tous prix de sortir de cette histoire un pied dans la tombe et je devais prendre une décision, de suite, au pied levé.
Afin de retomber les pieds sur terre le plus vite possible, et après un pied de nez virtuel à mon directeur, je suis parti d’un pied léger quelques jours à la campagne dans le pied à terre, à deux pieds de la mer, que me proposait un copain pied noir à qui j’avais fait un pressant appel du pied. J’ai naturellement sauté à pieds joints sur l’occasion et, sitôt arrivé, j’ai pris mon pied, faisant du jogging (course à pied), et en prenant l’apéro les doigts de pieds en éventail... Le pied quoi !
Huit jours plus tard, pied à pied, j’étais remis sur pied. Mais hélas, il m’a fallu bien vite retomber pieds sur terre en réintégrant de plain-pied le monde du travail. Si je voulais cette fois repartir du bon pied se serait en regardant ou je mettais les pieds, sans plus jamais lâcher pied et surtout sans me laisser marcher sur les pieds.
Donc, fin prêt, sur pied de guerre, habillé de pied en cap, bichonné des pieds à la tête et bon pied bon œil, j’étais enfin à pied d’œuvre pour affronter ce directeur qui m’avait joué ce pied de cochon. Plutôt que de me risquer à lui faire du pied, je m’étais bien promis de donner un bon coup de pied dans la fourmilière et sans lâcher pied, de travailler d’arrache-pied sans plus jamais donner pied à la moindre critique.
Pourtant, bien qu’arrivé au boulot de pied-ferme, c’est sur la pointe des pieds que j’ai réintégré mon poste, me jurant de bien regarder ou j'allais mettre les pieds, d’éviter à tous prix les mesquins croche-pieds de ce directeur casse-pieds.
Et naturellement, à peine arrivé dans ce bureau, comme s'il m'avait épié, mon directeur me convoquait, espérant sans doute me voir me prosterner à ses pieds. C’est pourtant en trainant des pieds que je me suis rendu dans ce bureau ou je n’avais jamais mis les pieds.
Il m’a d’abord laissé faire le pied de grue pendant une bonne demi-heure, alors que j’aurais préféré être six pieds sous terre, puis, une fois devant lui, lui sur son piédestal, moi prosterné à ses pieds, j’ai commencé à m’emmêler les pieds, perdant pied définitivement, et faisant des pieds et des mains pour finir par m’excuser.
Je n’espérais plus qu’une chose, lever le pied au plus vite.
Ça m’aura fait les pieds.
Mais, j’arrête, je suis arrivé en pied de page."
Jo
Voici une nouvelle photo de classe du passé. Celle-ci m'a été transmise par Marc Fortuné (merci à lui et à Jo Simar pour la "rénovation" de la photo!). Il s'agit en l’occurrence d'une photo de l'école de Lomprez en +/- 1946. L'institutrice s'appelait Mademoiselle De Behogne. Sur ce cliché apparaît Maria Pasquasy (la maman de Marc), mais également Renée Antoine, Bernadette Desbesselle, Liévine Olix, Anne-Marie Simon, Jeanne-Marie Remy, Francinne Grégoire, Marie-Madeleine Bihay, Nelly Quoilin, Gisèle Denoncin... En reconnaissez-vous d'autres???
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D'autres "photos de classes du passé" : cliquez ici
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Ordre du jour chargé pour ce dernier conseil de l’année : il aura fallu un peu moins de 3 heures de débats pour en venir à bout. Les budgets 2016 et les fabriques d’églises auront occupé la majeure partie de cette réunion. En l’absence de Jean-Luc Martin, excusé, la bourgmestre ouvre la séance par la traditionnelle approbation du procès-verbal du conseil précédent. Outre une remarque formelle de Benoît Closson, ce p-v est adopté à l’unanimité. Madame Bughin donne alors la parole à Monsieur Damilot, Président du CPAS.
Vidéo de la séance en fin d'article
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Majorité Opposition
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Ceci n'est pas une fiction ! Ça se passe à l'hôtel Mercure de Mâcon (labellisé « aménagé pour handicapés") !
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Nous arrivons à la nuit tombée sur le parking et nous arrêtons devant le perron de l'hôtel qui, en effet, possède une rampe d'accès pour chaises roulantes. Mais l'inclinaison de celle-ci est telle qu'il m'est impossible de la gravir par mes propres moyens. Heureusement, ma femme peut m'aider en poussant la chaise.
Mais que fait un handicapé qui voyage seul ?
Une fois les formalités à la réception terminées je reçois la clé et gagne ma chambre pendant que ma femme décharge les valises et conduit la voiture au parking.
J'arrive donc seul devant ma porte, introduit la clé et veut pousser celle-ci qui résiste !
Si elle résiste ainsi c'est parce, dans le but honorable de faciliter la vie aux handicapés, je suppose, elle est munie d'un ferme-porte hydraulique.
Déjà l'introduction de la clé dans la serrure avait posé des problèmes, (dans une chaise roulante, en effet, vos pieds précèdent largement le reste du corps - voir croquis ci-contre). Atteindre cette serrure passe inévitablement par une série de contorsions vous obligeant à plier le buste vers l'avant dans la mesure permise par l'importance de votre embonpoint.
Finalement, jouant (si l’ont peut dire) des pieds et des mains, j'arrive à prendre le dessus sur ce foutu ferme-porte.
Maintenant, petite explication pour ceux qui n’ont jamais eut le plaisir de se déplacer en chaise roulante.
Il faut savoir que les deux mains sont nécessaires pour faire avancer votre véhicule en ligne droite. Or, si l’une de vos mains essaye de maintenir la porte ouverte, luttant contre le ressort du ferme-porte, il n’en reste forcément qu’une pour faire avancer votre chaise, avec le résultat que celle-ci part sur le coté en éraflant la porte avec les poses-pieds.
Poussant la porte vers l'intérieur avec le pose-pieds de ma chaise, et avançant en évitant autant que possible de m'érafler les doigts entre les roues et le chambranle, car, en plus, la marge de manœuvre en largeur n'est que de quelques millimètres, ça y est, j’arrive à passer. Ouf!
Hé oui mais, à ce moment précis, à peine mes roues ont-elles passés le chambranle, que la porte automatique claque derrière moi, me laissant, « automatiquement » dans le noir le plus complet (nuit + rideaux tirés). Pas d'affolement pourtant car dans un cas pareil, il suffit simplement d'actionner l'interrupteur qui doit se trouver aux alentours de la porte d'entrée.
Ah ouiche! Mais . . . il faut aussi savoir que les roues d'une chaise roulante dépassent à l'arrière (voir croquis)
Pas question de faire-faire demi-tour au fauteuil : celui-ci est coincé entre deux murs. A droite le mur de séparation avec la chambre voisine et à gauche celui de la salle de bain.
Il ne me restait plus qu'une solution, la fuite en avant.
Commence alors une progression à tâtons dans le noir, me cognant aux murs, lits et autres meubles pour tenter le demi-tour indispensable. Entretemps ma femme est arrivée et frappe à la porte.
- Chéri, qu’est-ce que tu fabriques ?
- Une minute, j'arrive... (C'est moi qui ai la clé).
Mais dans le noir absolu et dans une chaise roulante, se débattre contre les murs et les meubles dans un espace très réduit : croyez-moi, c'est comme la guerre 14-18, il faut l'avoir fait.
Je n’ai pu y arriver qu’en empilant les chaises sur les lits avec, en plus, la voix de ma femme, amortie par l'épaisseur de la porte, qui s'impatiente en lançant des « mais tu fais quoi mon chéri ? »
Finalement, bousculant le mobilier, éraflant les murs, jurant et tonnant, j'arrive à faire mon demi-tour et regagne, toujours à tâtons, la porte, dans le couloir étroit !
Cette fois le problème est inversé. Je me retrouve, devant la même porte qui ne se laisse toujours pas approcher, buttant de nouveau contre elle avec mon pose-pieds.
Je commence d’abord une recherche des interrupteurs, que j’abandonne très vite, me rendant compte que le rayon d’action de mes recherches est trop limité.
Cette fois, c’est tirer la porte vers moi que je dois faire. Heureusement je ne suis plus seul, ma femme est là dans le couloir qui pourra m’aider en poussant. Mais d’abord je dois toujours m'étendre à la recherche, non de la serrure cette fois mais de la clenche qui s’avèrera en plus être un bouton ROND, bien lisse.
Finalement, à force de contorsions, jurons et transpirations, j’arrive à ouvrir cette damnée porte, la retenant cette fois avec les pieds. Tout ça pour alors entendre ma femme s'exclamer : « Mais enfin, qu'est-ce que tu fais dans le noir ? »
Fin de l'anecdote.
Mais enfin, ces problèmes étaient pourtant prévisibles, et les responsables en étaient conscients car la porte de la salle de bain est coulissante, ce qui règle le problème en permettant de l'affronter de coté et non pas de face. Par contre les dimensions de la salle de bains ne permettent pas la circulation en chaise roulante et est, de plus, équipée d'une baignoire. Quand on sait les difficultés que connaissent les personnes âgées pour entrer et sortir d'une baignoire, pensez à celles que rencontrent les handicapés, et les handicapés âgées pour entrer et sortir d’une baignoire !
Dernier détail, cette chambre spéciale pour handicapés, était au rez-de-chaussée, ce qui est normal pour une chambre d'handicapé. Seulement dans cet hôtel le restaurant est à l'étage . . . et la porte de l'ascenseur est trop étroite pour le passage d'une chaise roulante !
Le personnel, très aimable, a pourtant résolu le problème en me faisant monter par le monte-charge des cuisines, celui qui sert pour le transport des cageots de légumes et des sacs-poubelle.
Une autre façon de s'ouvrir l'appétit.
Vous ai-je dit que l'hôtel Mercure avait trois étoiles et que la chambre double coûtait 75 € ?
Jo
Vous trouverez ci-dessous un point supplémentaire à l'ordre du jour du prochain conseil communal déjà bien rempli (cliquez ici). Celui-ci est introduit par Monsieur Closson au nom du groupe "Avec Vous" et je vous le livre tel que je l'ai reçu...
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Règlement sur les immondices - Duobacs - Remplacement d'une puce défectueuse
« J’ai été récemment interpellé par un citoyen qui s’étonne que le remplacement de la puce défectueuse de son duobac lui ait été facturé.
N’allez surtout pas déduire de cette interpellation que l’opposition constructive cherche des… puces à la majorité !
Plus sérieusement, de manière générale, dans la mesure où il n’est pas établi que le mauvais fonctionnement d’une puce serait imputable à l’utilisateur et en l’absence de dispositions spécifiques dans le règlement communal, je m’interroge sur la validité juridique d’une facturation unilatérale au redevable.
Pouvez-vous m’éclairer ?
Je vous en remercie ».
Pour le groupe « Avec Vous », Benoît Closson, Conseiller communal
Le parc à conteneurs de Wellin (Rue Paul Dubois - Tél. : 084/38.92.67) sera exceptionnellement fermé ce vendredi 18 décembre 2015.
Horaire d'été (du 1 mai au 31 octobre) Du lundi au vendredi de 13h00 à 19h00 Le samedi de 9h00 à 18h00 |
Horaire d'hiver (du 1 novembre au 30 avril) Du lundi au vendredi de 12h00 à 18h00 Le samedi de 9h00 à 18h00 |
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